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14 mai 2015

> La salle de presse: 14.05

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Coucher de soleil sur les tours Petronas de Kuala Lumpur, en Malaisie. Zainal Abd Halim / reuters

> Hollande et les institutions: à quand la révolution? Lui président, il réformerait les institutions de la Ve République. Mais François Hollande semble hésiter et tarde à accomplir ses promesses. (lire)

> Les sénateurs absentéistes sanctionnés financièrement à partir d'octobre: certains sénateurs pouvaient jusqu'à présent profiter de leurs 13.000 euros mensuels, même sans assister aux sessions plénières. (lire)

> Il n’y aura finalement pas de brouillage au futur palais de justice de Paris: le ministère de la Justice a été rapide pour éteindre la bronca qui montait parmi les journalistes de la presse judiciaire. (lire)

migrants.jpg> Migrants: l’Europe invente la solidarité par quotas pour l’heure sur une base volontaire. (lire)





euro.jpg> Zone euro: une reprise qui ne cache pas les échecs politiques du passé. La croissance européenne s'accélère légèrement, mais les fondamentaux restent très fragiles. Les conséquences des erreurs commises depuis 2010 se font encore sentir.(lire)


index.png> Burundi: tout comprendre de la tentative de coup d’État militaire. Dans les faits, il est toujours impossible de savoir qui contrôle le pays, secoué depuis le 26 avril par un mouvement de contestation. (lire)



url.jpg> Titli: bienvenue dans la banlieue de Delhi, sa misère qui colle à la peau, son économie parallèle, son système patriarcal qui broie les individus. Ce premier long métrage indien, présenté l'an dernier à Cannes est un choc. On est à l'opposé des romances à l'eau de rose bollywoodiennes. C'est en observant les femmes, leur courage, leur ingéniosité, leur dévouement que le réalisateur condamne avec le plus de force la ­société indienne patriarcale : fières et décidées à ne plus se taire, à ne plus être à la merci des hommes, au risque d'être battues comme plâtre, les femmes du film sont magnifiques. (lire)

13 mai 2015

> La salle de presse: 13.05

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Cannes, 2015. Photo Ludovick, CC BY

1002112953.2.jpg> Congrès PS: entre camarades, la défiance règne. Certains s'inquiètent déjà de la sincérité du scrutin, à une semaine du vote des militants socialistes sur les motions. (lire)

> "On n'entend pas le parti socialiste !" (lire)

> Hollande en Haïti : la tête haute et la dette basse. Ses atermoiements sur le remboursement de la dette historique de la France envers Haïti ont valu au président français une chaotique fin de tournée caribéenne.(lire)

> La cité judiciaire embrouille la presse: «En l’état, le projet donne une image de la justice contraire à celle que s’en fait la garde des Sceaux, à savoir accessible et ouverte au public», indique le ministère. (lire)

> La dangereuse excommunication de Manuel Valls. (lire)

> Déficit: Bruxelles salue les efforts de la France. Encouragements, mais pas de tableau d'honneur. (lire)

yanis-varoufakis.jpg> Grèce: pourquoi Yanis Varoufakis est-il insupportable aux Européens? Yanis Varoufakis est, dans l'Eurogroupe, un corps idéologique étranger qui leur tendrait le miroir hideux des erreurs de l'Europe depuis 2010. (lire)


ouganda.jpg> En Ouganda, les rescapées de l'enfer: alors que les 200 lycéennes enlevées par Boko Haram au Nigeria n’ont toujours pas été retrouvées, des centaines de jeunes femmes réapprennent à vivre après avoir servi d’esclaves sexuelles en Afrique de l’Est dans une autre secte meurtrière, la Lord Resistance Army, de Joseph Kony. (lire)


tete haute.jpg> La Tête haute: à l’heure de bâtir son scénario, Emmanuelle Bercot, cinéaste passionnée depuis ses débuts par l’enfance dans tous ses états, avait mis une phrase en exergue de son récit : « L’éducation est un droit fondamental. Il doit être assuré par la famille et, si elle n’y parvient pas, il revient à la société de l’assumer. » Aux antipodes des innombrables fictions lénifiantes sur les « ados difficiles » vues sur le grand et le petit écran, le film, au plus près de son anti-héros, donne à voir sous toutes les coutures ambivalentes le réel d’un ado en rupture et la conviction de quelques personnages de bonne volonté, qui, avec leurs faibles moyens, refusent d’abandonner leurs convictions éducatives. (lire)