> La salle de presse: 07.05

Retour de pêche à Port-au-Prince, Haïti. Ramon Espinosa / ap

> Derrière les écoutes téléphoniques, la face sombre de Nicolas Sarkozy. (lire)

> INA: le nouveau gravier dans la chaussure de Mathieu Gallet. On connaissait déjà de lui l'amour du bureau bien fait. Il sait aussi soigner ses proches. (lire)

> Caraïbes: îles flottantes pour François Hollande. A part l'unité de lieu, l’agenda présidentiel change du tout au tout à chaque saut de puce d’une île à l’autre. (lire)

> Le perchoir ou candidat, il faut choisir. Choisir, c'est se priver du reste. (lire)

> Comment Hamon et Bartolone se sont entendus. (lire)



> Démission au parti socialiste: "A l’intérieur du PS, la grande majorité des militants ont déserté parce que opposés à ce que fait leur parti au pouvoir. Ceux qui restent vont quand même voter la majoritaire pour rester « dans le film." (lire)

> Élections au Royaume-Uni: la revanche des Ecossais. Ils n'étaient pas parvenu à obtenir leur indépendance en septembre dernier; aujourd'hui, ce sont eux qui tiennent le sort du Royaume-Uni entre leurs mains. (lire)

> Grande-Bretagne: Ed Miliband, l’ascension d’un résilient. Au fil de ses apparitions télévisées, le public a fait la connaissance d’un débatteur vif et aguerri, souvent plus humain que le robotique David Cameron. (lire)

> Un tribunal de l’ONU ordonne la réintégration d’Anders Kompass qui avait alerté la France sur des viols commis par ses soldats en Centrafrique. (lire)



> Jörg Immendorff ou la représentation sublimée:  les œuvres présentées à la Fondation Maeght proviennent de la collection de Michael Werner et s’étalent des années 1970 jusqu’au souffle ultime de l’artiste, digne émule de Joseph Beuys, dont il a été l’élève à l’académie des Beaux-Arts de Düsseldorf en 1963 et 1964. Beuys, qui proclamait que « chaque homme est un artiste ! » et qui posait la liberté comme but suprême de la société. Une interrogation que fera sienne Immendorff, vite renvoyé de l’académie des Beaux-Arts pour cause d’engagement maoïste et d’actions néodadaïstes. (lire)

Jörg Immendorff. 
« Les Théâtres de la peinture ». 
Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence. Jusqu’au 14 juin.

> La salle de presse: 06.05

Dans les eaux de La Havane, Cuba. Desmond Boylan / reuters

> Ségolène Royal, dernière arme anti-Le Pen? Qui, à gauche, parle encore au peuple ? Selon nombre de sondeurs, il ne reste plus que Ségolène Royal. (lire)

> 6 mai 2015: que peut célébrer François Hollande? (lire)

> Hollande est-il parti à la reconquête de ses électeurs? Certains le pensent déjà en campagne: le nombre de ses déplacements augmente effectivement depuis le mois de novembre dernier. (lire)

> Cécile Duflot: "Une réponse collective contre le sexisme". La députée EELV veut faire bouger les choses "pour les générations futures". (lire)


> Eau, mon amour ! Pour une socialisation de ce bien commun: pour faire société nous devons être en capacité d’élargir le cercle des décideurs, surtout pour un sujet aussi sensible. L’eau nous appartient, c’est le peuple qui la boit. (lire)

> Le joli bla-bla des retraites chapeaux. (lire)




> Une nouvelle casserole pour Mathieu Gallet dans la gestion de l'actuel PDG de Radio France lorsqu'il était à la tête de l'INA. L'attribution de marchés sans mise en concurrence est en cause. (lire)

> Le naufrage de l'Afrique se poursuit en Méditerranée: le début de l'année 2015 est particulièrement meurtrier pour les migrants clandestins, avec plus de 1 200 morts pour le seul mois d'avril, transformant la Méditerranée en tombeau à ciel ouvert. (lire)

> Cuba: la circulation des ferries rétablie par les États-Unis après l'octroi mardi d'un certain nombre de licences par l'administration américaine. (lire)



> Anjelica Huston, faste & furious: son autobiographie Suivez mon regard, donne une idée du style de vie de l’actrice, qui semble passer son temps, où qu’elle aille, à tomber sur des gens plus célèbres qu’elle. Elle mettra des années à se défaire de l’emprise de son père, le géant de Hollywood John Huston. (lire)

Suivez mon regard d’Anjelica Huston. Éditions de l’Olivier, 23,50 €.