> La salle de presse: 24.02

Journée de pluie à Allahabad, Inde. Jitendra Prakash / reuters

> "Le changement en Europe viendra lentement": l’économisteJames Galbraith, proche de Yanis Varoufakis, décrypte le compromis trouvé entre la Grèce et ses créanciers européens. Il admet qu’il faudra du temps pour faire bouger le logiciel économique européen. (lire)


> Quand François Hollande parle de "Français de souche". (lire)

> « Français de souche »: généalogie d’un concept manipulé par l’extrême droite. (lire)


> Départementales: le PS présente moins d’ouvriers que le FN. (lire)

> Conseil de discipline ce soir pour les frondeurs du PS: « Les débats vont être virils ! » Les socialistes se préparent à une réunion interne houleuse, dont ils ont le secret. (lire)

> Sanctionner les frondeurs? Facile à dire, plus difficile à faire. Le bureau national risque d'accoucher d'une souris. (lire)

> Les jeux d’adresses des époux Balkany: Patrick Balkany retient son souffle. D’ici quelques jours, le bureau de l’Assemblée nationale doit se prononcer sur la levée de son immunité parlementaire, réclamée par les juges. La justice dispose d’indices accablants reliant le couple d’élus des Hauts-de-Seine à deux villas de Marrakech et Saint-Martin. (lire)





> Les Nourritures, philosophie du corps politique: en envisageant tout ce dont nous vivons, non comme de simples ressources, mais comme des nourritures, Corine Pelluchon pense l’habitation de la terre comme une cohabitation avec les autres hommes et les autres espèces. La force de ce livre consiste à tirer les conséquences politiques d’une telle philosophie, en proposant un nouveau contrat social inscrivant la question animale et l’écologie au cœur de la République et permettant à la démocratie de se réinventer. (lire)

Les Nourritures, Philosophie du corps politique,Corine Pelluchon, Seuil. 25.00 €

> La salle de presse: 23.02

Souffleur de verre à Hebron, en Cisjordanie. Mamoun Wazwaz / apaimages /sipa

> Ségolène Royal: « Personne ne prendra en otage la loi sur la transition énergétique ». (lire)

> Un bonus de 4 millions pour le nouveau patron qui a du mal à passer: la ministre de l'écologie Ségolène Royal a jugé « pas normal du tout » cette prime de bienvenue. « Ce qu'il faudrait c'est un peu d'autodiscipline dans la décence des comportements », a dit Mme Royal qui « espère » que M. Brandicourt va renoncer à ces 4 millions d'euros.(lire)

> Parti socialiste: Tirs à boulets rouges sur les frondeurs. Les frondeurs qui ont contraint le gouvernement au 49.3 cette semaine en ont pris pour leur grade tout le week-end. Les oreilles de Benoît Hamon ont dû siffler. (lire)

> Le PS se prépare à une «grande explication» après le recours au 49.3. (lire)

> Matières première agricoles: des banques françaises spéculent toujours.  Il y a deux ans, l'organisation Oxfam, qui lutte contre la pauvreté dans le monde, avait mis en cause quatre groupes bancaires tricolores. Elles s’étaient engagées à arrêter. Certaines continuent pourtant de le faire. (lire)

> L’accord Grèce-Eurogroupe conclu le vendredi 20 février entre la Grèce et l’Eurogroupe suscite des commentaires contradictoires. Mieux vaut utiliser les 4 mois gagnés de haute lutte pour se préparer à l’inévitable, c’est à dire à une sortie de l’Euro. (lire)



> L’Ancêtre en Solitude: c’est le plus beau couple métis de la littérature française. Un demi-siècle d’amour fou. Le mariage, pour l’éternité, du yiddish et du créole. Et le poids, sur leurs épaules accolées, de deux tragédies dont ils ont été les mémorialistes : le génocide des juifs et la traite des Noirs. Chacun a écrit son chef-d’œuvre. Dix ans après la mort d'André Schwartz-Bart, le Blanc qui avait osé écrire sur les Antilles, sa femme, Simone, reprend le cycle antillais qu’ils avaient imaginé ensemble et dû abandonner devant les critiques. (lire)