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13 décembre 2013

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BEN.jpgFeuillage d'automne, Bovenkerk, Pays-Bas. Ben Thé Man

alerte.jpgL'heure de la revanche pour les lanceurs d'alerte: les médias les écoutaient, puis les oubliaient, car ils n'apportaient pas de preuves matérielles exploitables. On les prenait parfois pour des paranoïaques ou des extrémistes égarés par leur antiaméricanisme. Touut change au printemps 2013, quand un consultant de l'Agence de sécurité nationale (NSA) américaine, Edward Snowden, fournit aux médias des milliers de documents... (lire)

gauche.jpgPS : l’aile gauche enterre la hache de guerre avec Matignon. Hier contempteurs de la ligne gouvernementale, ils mettent désormais de l’eau dans leur vin. L’annonce surprise d’une "remise à plat de la fiscalité" par Jean-Marc Ayrault, conjuguée à l’approche de municipales qui s'annoncent périlleuses, semble avoir apaisé les esprits au sein du PS. (lire)

bangui.jpgEn Centrafrique, la France face à un ennemi invisible: la situation sécuritaire en Centrafrique est loin d'être rétablie, en proie à une "guerre asymétrique". Le spécialiste ne croit d'ailleurs pas à une intervention courte, de quelques mois comme évoqué par Paris. (lire)

sin.jpg"Trois films qui regardent droit dans les yeux ce monde qui va mal: les fêtes de Noël approchent dangereusement et le cinéma dit de divertissement impose ses lois dans les multiplexes à grand renfort de films d’animation familiaux et de comédies consensuelles. Période creuse pour le cinéma exigeant qui refuse les lois du prêt-à-regarder ? Pas vraiment. (lire)

"A Touch of Sin": le grand cinéaste chinois Jia Zhangke sonne la charge contre un pays au bord de l’explosion sociale. En quatre histoires successives, A Touch of Sin raconte tout un pays, et pas le moindre : la Chine contemporaine, laborieuse, brutale, immensément riche et pauvre, injuste, violente, en plein zèle capitaliste et déjà décadente. (lire)

“Le Géant égoïste”: avec cette fable tragique située dans le Nord de l'Angleterre, Clio Barnard réussit une adaptation contemporaine bouleversante d'un conte d'Oscar Wilde. (lire)

"Nous irons vivre ailleurs": après un voyage éprouvant depuis l'Afrique, le jeune Zola, qui rêvait de venir en France, découvre une piètre terre d'accueil. Avec peu de moyens, Nicolas Karols réussit un film fort. (lire)

12 décembre 2013

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Arcs-en-ciel au-dessus de Gaza. Hatem Moussa / ap

sroyal.jpgPour Ségolène Royal, "on ne dit jamais jamais en politique". (lire)




Peillon recule sur la réforme du temps de travail des profs de prépa: reste que le sort des 300 000 autres enseignants de collège et de lycée est laissé en suspens. Car pour eux aussi, les négociations, qui portent sur une redéfinition de leurs missions, sont au point mort. (lire)

élections.pngLa grande pagaille des alliances municipales. (lire)

Elections européennes : la droite et la gauche à tombeau ouvert. La preuve par les affrontements sur la composition des listes, qui relèvent de calculs partisans, pas d'engagements européens. (lire)

rca.jpg«L'intervention en Centrafrique n'a pas de mandat politique, c'est une erreur»: une intervention internationale était absolument nécessaire, qu'elle soit française ou pas. Or, il y a le besoin d'une intervention qui prenne en charge d'autres problèmes liés à la transition politique notamment. (lire)


kiev.jpgL'Ukraine vit-elle une deuxième Révolution orange ? L'Europe n’a guère envie, en période de crise, de se charger du fardeau ukrainien alors qu’elle s’est refusée à la Turquie qui, elle, vient de connaître deux années de croissance record. L’autre versant de cette confrontation, c’est le bras de fer avec la Russie qui fait chanter Kiev avec l’arme du gaz et du pétrole. (lire)

jean-rolin-et-kate-barry.jpgDécès | Kate Barry, par l’ombre portée: très anglaise, la fille aînée de Jane Birkin, voyait dans la photo un remède à sa mélancolie et une manière de se cacher. (lire)








lunchbox.jpg«The Lunchbox»:  la mise en scène ficelée par Ritesh Batra et la présence retenue d’Irrfan Khan dépassent le cadre, offrent une réflexion (du moins à nos yeux européens) sur les classes moyennes indiennes prises dans le chamboulement moderne, effleurent les sentiments avec justesse. C’est un autre cinéma qui se déploie, intéressant jusque dans ses défauts, dont il est plaisant d’assister à l’éclosion. (lire)