| 11 décembre '13

Jacques Chirac, fan de François Hollande: lors d'un déjeuner dominical avec Jean-Louis Debré, Jacques Chirac n'a pas tari d'éloges sur François Hollande. (lire)

Comment le PS a copié l'UMP qui a copié le PS sur les régularisations des sans-papiers: le ministre de l'Intérieur Manuel Valls régularise au cas par cas, dans la continuité de ses prédécesseurs (de droite). (lire)

Pourquoi aucun logement n'a été réquisitionné depuis un an ni à Paris, ni ailleurs. Selon le ministère, une petite dizaine de procédures sont encore en cours en Ile-de-France. Il y en aurait aussi une autre dizaine en Midi-Pyrénées, et une trentaine en région Paca. Maigre bilan. (lire)

Boulet: les premiers jours de l’intervention à Bangui montrent que la mission sera périlleuse. Face à un «Etat néant», la marge de manœuvre est réduite. (lire)

François Hollande et le chaos centrafricain: preuve que la Centrafrique sombre dans le chaos : plus personne ne s'étonne qu'un président étranger ait pu atterrir pour visiter ses troupes et repartir sans y avoir été invité. (lire)


Dans l'Afrique du Sud de l'après-Mandela, la ferme des Webster redoute la fin d’un monde: petits Blancs et petits Noirs n'en sont pas encore à s'asseoir sur les mêmes bancs, et leurs parents à partager les mêmes pans de mémoire. (lire)

L'avenir de l'Europe se joue à Kiev: les jeunes massés sur la place de l’Indépendance, le lieu symbole de la contestation, clament tout à la fois «nous voulons l’Europe» mais aussi «nous sommes l’Europe». (lire)



«A Touch of Sin»: Chine tonique.  Le grand cinéaste chinois Jia Zhangke sonne la charge contre un pays au bord de l’explosion sociale. En quatre histoires successives, A Touch of Sin raconte tout un pays, et pas le moindre : la Chine contemporaine, laborieuse, brutale, immensément riche et pauvre, injuste, violente, en plein zèle capitaliste et déjà décadente. (lire)

| 10 décembre '13

Coucher de soleil sur le Fort Al Jahili, à Al Aïn - Abu Dhabi.

Le XXIe siècle peut enfin commencer: Mandela savait que pour construire le monde qui nous est commun, il fallait restituer à ceux et celles qui en avaient été privées leur part intrinsèque d'humanité. Les liens qui avaient été brisées devaient etre réparées, et les parts qui avaient été amputées réassemblées. (lire)

L'union sacrée contre l'article 13, le Patriot Act à la française, s'est-elle soudée trop tard pour arrêter la machine? Alors que le projet de loi de programmation militaire revient au Sénat, la contestation de son article 13, qui élargit très considérablement le champ des écoutes numériques, a pris une ampleur inédite. (lire)

Travailleurs détachés : quelle stratégie au PS ? Certains socialistes estiment que le compte n'y est pas dans l'accord arraché à Bruxelles sur les travailleurs détachés. (lire)

Placé attaque Montebourg, «VRP de tout ce qui échoue»: Cécile Duflot a été plus mesurée. Selon elle, la position de Montebourg «n'a rien d'originale», c'est la «déclaration classique des hommes politiques français depuis 1974.» Mais pour répondre à son collègue au gouvernement, elle a estimé que «l'avenir et la modernité», c'est «la transition énergétique. Tout le monde le sait.» (lire)

Centrafrique : deux soldats français tués, Hollande sur place ce soir après la cérémonie d’adieu à Nelson Mandela. (lire)

Hamid Karzaï : « Les Américains agissent en puissance coloniale ». (lire)




Eric Rohmer, de filles en aiguille: on ne sait rien d’Eric Rohmer, ou alors uniquement ce que nous en montre son œuvre. Longtemps, il refusa d’être photographié, de se déplacer pour recevoir les honneurs, et quand, dans le métro, on lui disait «Bonjour monsieur Rivette, j’adore l’Amour fou», il répondait : «Bonjour mademoiselle, mais l’Amour fou, ce n’est pas moi.» On en saura un peu plus sur le cinéaste dès le mois de janvier, avec la parution d’une biographie cosignée par Antoine de Baecque et Noël Herpe, sobrement intitulée Eric Rohmer. (lire)

«Eric Rohmer», d’Antoine de Baecque et Noël Herpe, éd. Stock, 29 €, à paraître en janvier.