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06 novembre 2013

| 6 novembre '13

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libé.jpgIgnominies: il est des paroles et des actes que l’on ne peut se permettre d’ignorer. Des dérapages que l’on se doit de condamner pour préserver une certaine idée du monde dans lequel on vit. Voir il y a quelques jours une petite fille accueillir Christiane Taubira, la garde des Sceaux, aux cris de «la guenon, mange ta banane» n’est pas quelque chose d’anodin. Plutôt une alerte sur l’état de la société et sur ses dérives. (lire)




Harry Roselmack : "La France raciste est de retour". Tant que l'on laissera ces peaux de Banania traîner dans nos cerveaux, des glissades et dérapages vers l'injure raciste sont à craindre. Surtout par les temps qui courent, avec cette crise qui alimente la xénophobie de son bien étrange carburant : la jalousie envers plus mal loti que soi. (lire)
 

france.pngCes "étrangers qui ont fait la France": un ouvrage à mettre entre toutes les mains. Et tout particulièrement de ceux qui oublient à quel point l’immigration est au fondement de notre société, sans réaliser que des millions de Français ont des ascendants d’origine étrangère à moins de trois ou quatre générations. (lire)





François Hollande et l'exaspération des classes moyennes: Comme si la communication entre les Français et lui s'était totalement brouillée sur la question fiscale, et plus largement sur la conduite de la politique économique. (lire)

Pourquoi Hollande devrait craindre la coagulation. (lire)

Parti socialiste
| Raz-de-marée de démissions ou simples contestations locales?
A bord du paquebot élyséen balloté par les événements, certains ont déjà préféré mettre les chaloupes à l’eau. (lire)
| Des croisés du non-cumul changent de camp: Jacques Valax, député PS du Tarn, et Bernard Lesterlin, son collègue de l’Allier et avocat du mandat unique, seront finalement tous deux candidats aux municipales de mars ! (lire)

blasio.jpgA New York, «un maire capable d’écouter sa population»: «Enfin du changement !», s’exclament la plupart des New-Yorkais croisés mardi soir dans les rues de la ville. Aorès la victoire de Bill de Blasio, ses électeurs espèrent des progrès en matière de logement et de pratiques policières. (lire)


cohen.jpgInside Llewyn Davis: Ethan et Joel Coen filment une Amérique qui n’a été que peu montrée à l’écran, celle de l’entre-deux, post-guerre de Corée et prébouleversements culturels, une Amérique blanche pour qui la question des droits civiques est un combat éloigné. Une société qui se contient, mais qui est à deux doigts de l’explosion. (lire)

05 novembre 2013

| 5 novembre '13

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libé.jpgAssumer: François Hollande ne peut négliger les voix qui lui conseillent de changer les hommes. La situation économique et sociale impose une cohérence gouvernementale disparue au fil des mois et des polémiques ministérielles. Il est urgent de la retrouver. (lire)

Les lycéens se remobilisent pour les élèves sans-papiers: les organisations lycéennes (UNL et Fidl), ainsi que le syndicat étudiant Unef, seront de la partie. «S’ils veulent s’associer au mouvement, libres à eux. Mais on ne veut pas être affiliés à un parti, on n’a rien à voir avec le Parti de gauche. On se méfie de la récupération politique.» (lire)


ecotaxe.jpgEcotaxe : la grogne s'étend aux Landes et l'UMP se déchire.  Alors que la polémique enfle, la gauche qui tient-là son contre-feu, après avoir été obligée de suspendre la mise en place de l'écotaxe devant la colère des Bretons, veut désormais renégocier ce contrat. (lire)

kidal.jpgKidal, "ville de tous les dangers" pour les journalistes. (lire)




jaures.jpgLes socialistes et la guerre: un siècle de tourments. Pour un président de gauche, les commémorations du centenaire de la première guerre mondiale sont un évènement bien délicat à célébrer. La raison est simple : rarement les désillusions et les contradictions de la gauche française se sont exprimées aussi fortement qu'entre 1914 et 1918. (lire)


violence_des_riches.pngMonique Pinçon-Charlot : « La violence des riches atteint les gens au plus profond de leur esprit et de leur corps ». Une violence banalisée grâce à un renversement du langage : les riches seraient des victimes, menacées par l’avidité du peuple. Elle dénonce un processus de déshumanisation, une logique de prédation, une caste qui casse le reste de la société. Et invite à organiser une « vigilance oligarchique » : montrer aux puissants que leur pouvoir n’est pas éternel. (lire)