| 11 février '13

                                                                               d'infos
                                laselection

La journée en un clin d'oeil

Pratique du karaté sur la plage de Colombo, Sri Lanka. Dinuka Liyanawatte/reuters.

24H Info
Santé: la stratégie du gouvernement reste à définir. Jean-Marc Ayrault l'a reconnu d'emblée. Réformer en profondeur le système de santé français ne pourra pas se faire du jour au lendemain en faisant voter une loi. (lire)

Goodyear, PSA, Florange: Hollande veut renouer avec le terrain malgré le mécontentement qui va croissant. (lire)

Hollande promet une loi sur la reprise des sites «rentables» et rappelle par ailleurs qu'au titre de l'accord sur la sécurisation de l'emploi « entre certains partenaires sociaux, il y aura une traduction pour renchérir un certain nombre de licenciements ou pour faire en sorte que la précarité soit combattue davantage qu'elle ne l'est aujourd'hui ». (lire)

La filière de la viande à hue et à dia: tous aux abris ! C’est la panique dans les rayons surgelés, où l’on craint les lasagnes garnies au canasson. (lire)



Peillon: "On ne trouve plus d'enseignants car le métier est difficile". La semaine commence à peine que déjà Vincent Peillon, le ministre de l'éducation nationale affûte ses formules. (lire)
L'instit qui exaspère le ministre Peillon: il agace son ministre. Ce n'est pas parce que le gouvernement est de gauche que ce syndicaliste va applaudir tout ce que Vincent Peillon entreprend. (lire)

Cahuzac-Mediapart, le bruit et la fureur: le bras de fer engagé depuis deux mois n'a rien d'une aimable version de David-Mediapart contre Goliath-le ministre. Il a même quelque chose de désagréable que rien n'est encore venu lever. (lire)

Bartolone: «La fin du cumul est inéluctable, mais…» (lire)

Monde
Tunisie: menacé, le gouvernement sous extrême tension. Les interrogations se multiplient sur un éventuel remaniement, promis par le chef du gouvernement. La coalition au pouvoir semble au bord de la rupture. (lire)

Terre
Pour Jane Goodall, «quelque chose s'est détraqué» entre l'Homme et la planète: à 78 ans, Jane Goodall, 53 années d'études des chimpanzés derrière elle, continue d'arpenter la planète pour sensibiliser populations et dirigeants à leur sort, mais aussi à celui des peuples qui parfois ne les chassent que pour assurer leur propre survie, et à la nécessité de protéger l'environnement. (lire)

Livres
Rétrograder les agences de notation: aveugles, incapables, intolérantes. Alexandra Ouroussoff n’épargne rien aux agences de notation dans son livre Triple A. L’anthropologue franco-américaine a longuement enquêté (six ans) pour comprendre la montée en puissance de ces agences, recueillant des témoignages forts sur le système vu de l’intérieur. (lire)

«Triple A», Belin, 2013, 15 €.

| 10 février '13

                                                                                d'infos
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Festival Maha Kumbh: ce festival hindou qui se déroule tous les douze ans, a lieu à Allahabad en 2013 / flickr

PSA: halte aux couacs! Mais quelle mouche a donc piqué le ministre du budget de lancer à la cantonade, au lendemain de l'annonce d'une colossale dépréciation d'actifs, qu'une entrée de l'Etat au capital était "possible"? (lire)

De Paris à Bruxelles, la démocratie abimée: le pacte de croissance à 120 milliards d'euros de l'été dernier est donc enterré. Or, la rigueur française se justifiait si l'Europe s'accordait sur une relance. Cette dernière option, soutenue par l'Italie, l'Espagne ou la France, a été dégommée par le couple Cameron/Merkel. C'est pourtant la fin de l'illusion européenne pour François Hollande, un revers évident. (lire)

Banques: une réforme, pas une révolution. L'Assemblée examine un texte qui semble loin des promesses de François Hollande, mais dont la rapporteur affirme qu'il constitue une avancée. (lire)

De Rugy : "Les socialistes ne sont pas très ouverts à l’écologie". Il regrette ceux qui "continuent à entretenir les polémiques", reconnaît des "réticences" du gouvernement sur l'écologie et plaide pour un bilan en 2014. (lire)



Cheick Tidiane Seck: "La division du Mali ne sert que ceux qui ont le pouvoir". Les dirigeants ont enfoncé le peuple malien dans la misère, à cause de la course au pouvoir et de la corruption, à cause du détournement de la démocratie au profit de la classe des nantis, à cause de l’analphabétisme que cette classe n’a pas veillé à endiguer. (lire)