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04 juin 2009

Qui a dit n°3?(fin du suspense)

Il s’agissait de Louis Marin, président de la Fédération Républicaine (équivalent à l’UMP), et président de la Commission d’enquête parlementaire chargée d’enquêter sur les rapports collusifs entre la politique et la finance (1931).

Pas de gagnant cette fois-ci encore!

03 juin 2009

Attention à la marche!

Ah, lala ! On peut le dire: le PS en bave des ronds de chapeau! L’UMP, coquin garnement, ne fait rien qu’embêter le bon élève PS qui cherche à parler d’Europe. Mais patatra ! l’UMP perturbe la campagne avec ses bavardages intempestifs et fayotte à tout va devant le Maître Sarkozy qui ressasse à tout va un prêchi-prêcha de vieille morale de grand-mère. Allez, au piquet ?

Mais voyons cela d'un peu plus près: le PS aussi ne jouerait-il pas les mauvais élèves ? En position de challenger, il essaie tant bien que mal d’intéresser les Français aux enjeux européens, parce qu’il lui faut combler la différence de voix avec l’UMP, qui part selon les sondages (mais peut-on leur faire confiance?) grand favori.
Alors voilà… En meeting à Montgeron hier mardi, les quadras socialistes ont donné une belle leçon de politique baronniale comme ils en ont seuls le secret. En effet, Benoît Hamon, troisième de liste en Ile de France et député sortant, est menacé d’une non réélection par la faute de sondages très peu favorables c'est même carrément catastrophique. Alors, pour sauver le soldat Hamon, on met tout en oeuvre afin de ne pas déchoir l’une des étoiles montantes du PS : le mot d’ordre, c’est « faire élire Benoît Hamon » à tout prix.

Après d'autres, voici maintenant Benoît Hamon pris les doigts dans le pot de confiture.

Et dire que le PS passe son temps à dénoncer chez le voisin les ambitions personnelles ! Joli parangon de vertu.

eag64 & NC