08 mai 2017
> La salle de presse: 08.05_
> Le "oui, mais" des Français à Emmanuel Macron qui doit compter avec l’abstention et un record de votes blancs ou nuls, double traduction d’un phénomène de défiance ou de scepticisme à son égard. (lire)
> Macron, repreneur inattendu de la Ve République affaiblie mais restructurée par ses soins ou syndic de faillite d’un régime politique dont le système partisan vient d’imploser sous nos yeux ? (lire)
> A peine élu, Macron va devoir négocier sec avec les syndicats: il veut dès son entrée à l’Élysée réformer le droit du travail par ordonnance. De quoi raviver les plaies à peine cicatrisées de la loi Travail, adoptée en juillet 2016 par le parlement après de longs mois de contestations. (lire)
> Mailly (Force ouvrière): «Je ne veux pas d’ordonnance sur les questions sociales». (lire)
> Et pour commencer, la moralisation de la vie publique: Macron a promis, dimanche soir, que cette réforme « sera le socle de (son) action ». (lire)
> Le PS entre en cohabitation avec lui-même: balayé au premier tour avec un score de 6,3 %, le Parti socialiste ne se présente plus au pays divisé, mais écartelé. Et les législatives, dans un mois à peine, risquent de signer définitivement son éclatement. (lire)
> Comment Hamon prépare sa contre-offensive: «On ne va pas se laisser marcher sur les pieds.» Dans le camp Hamon, fini la retenue. (lire)
> Avant les législatives, le PS s'étripe sur le cas Macron: lorsque les proches de Benoît Hamon ont découvert le projet de plateforme programmatique du PS pour les législatives, ils ont manqué de s'étouffer. (lire)
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05 mai 2017
> La créature_
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