15 février 2010
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d'infos
laselection
- La journée en un clin d'oeil
L'espace du marché des enchères aux roses le plus vaste du monde, connu sous le nom de FloraHolland, à Aalsmee, Hollande.
photo:Toussaint Kluiters / REUTERS
- France
Encore un dérapage: En plein meeting, le maire de Lagord a comparé les méthodes de Ségolène Royal à celles des nazis. (lire)
Ségolène Royal : un sondage qui explique la virulence des attaques de tous bords. (+)
Les «exigences» d'Europe Ecologie vis à vis du PS: organiser «dès la première année du mandat» de ses futurs élus en régions des états généraux sur l'écologie et l'emploi. Une manière d'afficher déjà ses «exigences» vis-à-vis de ses partenaires socialistes. (lire)
Les retraites au cœur du troisième sommet social: la réforme des retraites sera au cœur du troisième sommet social qui réunit syndicats et patronat, ce lundi 15 février à l'Elysée. (+)
Qui est responsable de la crise financière? Deux essais reviennent sur les causes de la crise. Appât du gain, recherche du profit maximal, transformé en dogme, ont conduit l’économie à développer les injustices et les inégalités. (+)
Sarko cherche la sortie du maquis corse: Querelles de leaderships à droite, émergence de Paul Giaccobi, nationalistes plombés par les affaires… Et le spectre d’un basculement à gauche. (lire)
- Terre
Le parfum sulfureux des roses kényanes: une aberration sociale et environnementale ? (la suite)
Habitat collectif ou maison individuelle ? En France, le développement des maisons individuelles a consommé de l'ordre de 500 000 hectares d’espaces naturels de 1992 à 2008. Ce sont pour l’essentiel des terres agricoles. (lire)
photo: Les Lofts de Chantepie, près de Rennes, sont un bon exemple de réponse à la demande d'économie du foncier, et aux exigences environnementales. - Culture
Le Centre Pompidou-Metz en cinq points: L'antenne lorraine de Beaubourg ouvrira ses portes le 12 mai. (lire)
Des milliers d'œuvres d'art disparues dans les ruines: s'il est encore trop tôt pour apprécier les pertes réelles en termes de patrimoine artistique, on sait d'ores et déjà que des trésors ont disparu. Les fresques murales de l'église épiscopale Sainte-Trinité, signées des géants de la peinture haïtienne, ne sont plus que vestiges. (+)
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