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03 août 2014

Quartiers d'été | 3 août '14

Contrôle qualité au Consortium du Parmigiano Reggiano à Bibbiano, Italie. Marco Vasini / ap

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"Le mandat de François Hollande a été rattrapé par la politique étrangère": dans ses engagements de campagne, François Hollande s'était montré peu ambitieux concernant la politique étrangère. Ses promesses : le retrait des troupes françaises en Afghanistan, une reconnaissance de l'Etat palestinien ou encore une réforme de l'ONU. Pas un mot sur la Russie ou sur le nucléaire iranien, entre autres. Finalement, il semble se montrer plus actif que prévu. (lire)

Août 2014 n'est pas août 1914: les parallèles entre la Première Guerre mondiale et les préoccupations actuelles abondent. Mais, les événements dramatiques de 2014 semblent entrer dans les tiroirs d'une histoire réécrite pour les besoins de l'inquiétude. (lire)

Fonds vautours: l'Argentine dit "merde" à ses créanciers. Au-delà de la responsabilité des uns et des autres, se pose ici une question fondamentale d'équilibre entre le droit et la politique et de la légitimité de tribunaux - qui plus est étrangers- de décider de la faillite d'un état. Un rapport de forces si cher au modèle libéral. (lire)

lunettes.jpgDes lunettes qui en mettent plein la vue: marques vintage renaissantes ou jeunes créateurs, ils sont nombreux à produire des lunettes «made in France», solaires ou correctrices. Tour d’horizon d’un secteur vivace et fier de son indépendance. (lire)





herzog.jpgHerzog par Saul Bellow: si Woody Allen avait été moins névrosé et plus psychotique, il aurait écrit «Herzog». On y suit pas à pas l’hilarante déroute mentale d’un professeur new-yorkais quitté par sa femme. Herzog, penseur érudit, ne sait plus quoi penser, et écrit des lettres démentes au monde entier qui l’a trahi, guidé par sa raison vacillante, qui l’a trahi aussi.

Trad. Michel Lederer, Folio, 608 p., 8,40 euros.









stael.jpgNicolas de Staël, la figure à nu, 1951-1955 au Musée Picasso Antibes: à partir de 1951 et jusqu’à sa disparition le 16 mars 1955, Nicolas de Staël renoue dans sa production avec les grands thèmes de la peinture, et en particulier avec celui du nu et de la figure féminine – que l’exposition d’Antibes illustre en rassemblant, pour la première fois, un ensemble de peintures et de dessins souvent inédits qui lui sont consacrés. (lire)

Jusqu'au 7 septembre 2014.

 

 

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