> La salle de presse: 16.11

Marché aux fruits et légumes aux environs d'Islamabad, Pakistan. Emilio Morenatti / ap

> Bruno Le Roux s'engage et fait une "promesse". (lire)

> Mistral, loi Taubira: au G20, Hollande renvoie Sarkozy dans les cordes. (lire)

> Mariage pour tous: Sarkozy, l'homme sans conviction. Dans la droite ligne des rad' soc', il adapte son discours au gré de ses calculs politiques. (lire)

> Quand François Hollande soutenait la reconnaissance d’un État palestinien: les députés vont se prononcer fin novembre sur un texte invitant le gouvernement à reconnaître l’État palestinien. Cette proposition hautement symbolique, n'engagera pas le président de la République. (lire)

> La gauche de la gauche marche mais reste sonnée: ils étaient 30 000 manifestants, selon les organisateurs, à défiler hier à Paris contre l’austérité. Ça n’est pas un échec cuisant, mais tout de même. (lire)




> Parti Socialiste: vers une guerre régionale. Un œil sur les sondages, un autre sur les petits arrangements «entre amis», telle est la règle. (lire)





> Drones, GPS, compteurs Geiger: les écolos font de la techno. Grâce à leur équipement high-tech, les défenseurs de l’environnement étoffent leurs actions, jusqu’à produire des preuves béton. Et accélérer le débat. (lire)




> Sade, attaquer le soleil: deux cents ans après sa mort, Sade (1740-1814) et son œuvre entrent dans les musées. Belle revanche posthume pour un homme qui passa plus du tiers de sa vie emprisonné et pour une œuvre longtemps interdite. Au musée d'Orsay, le titre « Sade, attaquer le Soleil » n'est pas un vain mot d'ordre. L'exposition convoque une série d'astres picturaux sidérants, de La Mort de Sardanapale, de Delacroix, à la Gradiva d'André Masson, des Caprices de Goya, aux Figures au bord de la mer de Picasso. (lire)

Jusqu'au 25 janvier 2015 au musée d'Orsay.