24 novembre 2014
> La salle de presse: 24.11
> Florange
| Les engagements d’ArcelorMittal sous l’œil de F.Hollande: le chef de l’État est donc de retour dans cette vallée mosellane pour « relever les compteurs », selon l’expression de l’un de ses conseillers. (lire)
| Deux ans après, un bilan qui manque de forge: syndicats et salariés sont très partagés sur les changements opérés. (lire)
> Chaud, chaud, et si l'hiver était chaud? Ces dernières semaines semblent se multiplier les envies d’agir, de bousculer un peu le gouvernement par le bas, simplement pour voir, déjà, ce qu’il en ressortirait. (lire)
> Quelques assouplissements matinaux: on pourrait imaginer un plan génial. L’Allemagne pourrait doubler ses investissements dans les infrastructures, en échange de quoi la France gèlerait les salaires sur trois ans, et « assouplirait“’ les 35 heures. (lire)
> La primaire de toutes les batailles. (lire)
> Yannick Rousselet (Greenpeace): "Nos centrales n'ont jamais été prévues pour faire face à une menace aérienne". Ce lundi, l'Assemblée nationale organise une audition publique sur "la sécurité des installations nucléaires et les drones".(lire)
> Béji contre Marzouki: duel tendu pour le second tour de la présidentielle tunisienne. La tenue d’un second tour reflète la bipolarisation du paysage politique : entre d’un côté un courant anti-islamiste, pour qui la recherche de stabilité et la restauration de l’autorité de l’État priment, et de l’autre, un courant surtout inquiet de voir des anciens du régime de Ben Ali revenir sur le devant de la scène. (lire)
> Robert Johnson, blues à la diable: Robert Johnson, c’est vingt-neuf chansons, vingt-sept ans d’existence, dix doigts squelettiques, trois sépultures, deux photos, un carrefour et une infinité de reprises. Le trajet historique du blues relie le delta du Mississippi à Chicago. Celui de Robert Johnson n’échappe pas à la règle, puis redescend vers l’origine, quand vient la fin. Sous l’influence protectrice de Robert Crumb et de ses Héros du blues, Dupont et Mezzo scandent ce parcours de longs plans larges, de décors et paysages où les parties blanches semblent griffées, arrachées au papier noir. (lire)
Love in Vain de Mezzo (dessin) et Jean-Michel Dupont (texte) Glénat, 19,50 €.
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Florange! Hollande a le courage d'y retourner, Sarko lui, les aurait traités de "sale con" c'est son vocabulaire
Écrit par : AUFAURE Marie Paule | 24 novembre 2014
Sarko utilise un langage hyper populaire qui semble plaire à la majorité des Français
.../...
Dès son élection inéluctable dimanche prochain à l'UMP il montrera ses excès et ses crocs , je vois le pire à venir que l'horreur de son vocabulaire !!!!
Écrit par : froute | 25 novembre 2014
Pardon chère Marie - Paule , mais je sais que tu sais ce qui nous attend avec lui soit le pire des pire en France
Jackie
Écrit par : froute | 25 novembre 2014
Début juillet de cette année il a été "gardé à vue " et mis en examen. Et il a le front de se représenter devant les Français! Il a fait payer ses dettes par les militants de son parti mais ils seront trop heureux d'avoir été floués et ils revoteront pour lui comme un seul homme: un comble!!!
Écrit par : ALMAVIVA | 25 novembre 2014
Les commentaires sont fermés.