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12 janvier 2015

> La salle de presse: 12.01

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Un ouvrier soudeur sur un pont de Manille. John Javellanac / reuters

> Ne trahissons pas nos idéaux démocratiques:  le droit ne peut être élaboré sous la pression médiatique et celle de l’opinion publique. (lire)

FBI.jpg> États-Unis - Patriot Act: une loi qui fait toujours débat plus de treize ans après son adoption dans l'urgence sans grand débat ni vraie opposition quarante-cinq jours après les attentats du 11 Septembre. (lire)

> La tentation d’un « Patriot Act » à la française: rien de pire, pour le droit, que ces moments d’intense unanimité, que cette vague d’émotion qui submerge la raison. Or, le code pénal a les plus grandes difficultés à revenir en arrière. (lire)

> François Hollande endosse le statut du commandeur:
un signe qui ne trompe pas, depuis la tuerie de Charlie Hebdo, François Hollande n’envoie plus de SMS, ce cordon ombilical qui lui permet d’ordinaire de passer les murs de l’Élysée. (lire)

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La Gauche et le peuple: « L’alliance historique depuis la Révolution française entre le peuple et la gauche se défait sous nos yeux », estiment l’historien Julliard et le philosophe Michéa. (lire)





nigeria.jpg> Boko Haram met à feu et à sang le nord du Nigeria. (lire)




haiti.jpg> A Haïti, l’impossible reconstruction: cinq ans après le désastre qui a détruit ou endommagé plus de 300 000 édifices, jeté plus de 1,5 million de personnes à la rue et provoqué des dégâts évalués à 6,6 milliards d’euros, le bilan de la reconstruction est mitigé. Le mot d’ordre « reconstruire en mieux », répété par l’ancien président des États-Unis Bill Clinton lorsqu’il était envoyé spécial de l’ONU pour Haïti, est largement resté un vœu pieux. (lire)


hard d.jpg> Hard Day:  le second film du Sud-Coréen Kim Seong-hun, est une variation, drôle, rythmée et cruelle, sur le principe identificatoire. Avec un bel acharnement, le film ne se contente pas de torturer indéfiniment, et avec des trésors de raffinement, un pauvre type aussi détestable soit-il sur le papier, collectionnant à peu près tous les travers humainement possibles. Il vient chercher en prime une critique sociale hargneuse, soulignant dans un dénouement sans pitié que cet homme vraiment sans qualité n’est rien d’autre que ce que mérite une société accumulant tous les maux du monde. (lire)

 

 

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