> La salle de presse: 15.06

Pêcheurs vérifiant leurs filets au Vietnam. photo: Hoang Long Ly.

> Ségolène Royal, l'insoumise: comprendre comment Ségolène Royal a réussi à démentir les mauvais augures et à témoigner d’une étonnante résistance aux chocs, c'est ce qui a motivé la réalisation du film de Gérard Miller et Anaïs Feuillette, diffusé sur France 3, ce lundi 15 juin, à 20h50.(lire)



> Régionales
| EELV en ordre de marche. Sept femmes et six hommes incarnant le renouveau écologiste défendront seuls les couleurs de la formation en décembre prochain. (lire)
| La guerre du Sud-Ouest. (lire)

> Islam, les invités de Cazeneuve:  un peu comme pour un mariage, la liste des invités n’a pas été évidente à dresser pour dialoguer ce lundi sur les sujets chauds de l'islam de France. (lire)


> Grèce: comment la division des créanciers conduit à l'échec des discussions. Athènes a proposé des « alternatives » pour couvrir l'équivalent des mesures exigées par les créanciers et refusées par les Grecs. Mais les Européens les ont repoussées sèchement. L'échec des discussions est donc bien à mettre au crédit du refus  de négocier et de la division des créanciers. (lire)

> Thomas Piketty: "Avec la Grèce, on invente la pénitence éternelle". La leçon à tirer de ce triste épisode, c'est que la rigidité doctrinale sur le paiement des dettes est contre-productive et absurde. (lire)



> Quand l’Algérie s’éveillera: François Hollande arrive pour une visite de travail de quelques heures dans une Algérie marquée par les blocages de la fin de la présidence Bouteflika. (lire)




> Migrants: Amnesty dénonce «l'échec honteux» de l'action de la communauté internationale face à la «pire crise des réfugiés depuis la Seconde Guerre mondiale». L'ONG a appelé les États à plus de coopération. (lire)

 

> Comme un avion: Bruno Podalydès au sommet. L'envie de prendre le large et d'aller voir ailleurs de l'antihéros podalydèsien trouve son expression la plus hilarante et la plus apaisée dans cette odyssée riquiqui d'un quinqua kayakiste qui aimerait rejoindre la mer, mais n'a pris qu'une semaine de congé. Le film de Podalydès est celui de l'harmonie enfin trouvée entre sa fantaisie comique et ses divagations mélancoliques, son esprit d'enfance et son hédonisme grivois. (lire)