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13 septembre 2017

> La salle de presse:13.09_

Macron: de la pensée complexe à la pensée fainéante. On croyait pourtant révolu le temps de la politique en noir et blanc ! Le président, qui explique en long et en large avoir étudié les travers de ses prédécesseurs, devrait savoir qu'on ne gagne rien à opposer les Français. (lire)

"Veaux", "fainéants", "sans-dents": les présidents finissent-ils par mépriser les Français? A trop chercher la "formule choc" que retiendront (et reprendront) journalistes et internautes, nos chefs d’État s'embourbent dans leur maladresse. (lire)

num.jpgLes risques de l’état d’urgence permanent: le Conseil national du numérique dénonce la « spirale sécuritaire infernale » de la France.(lire)
"Sortie de l'état de droit": le nouveau lapsus de Gérard Collomb. (lire)

manif.jpgUn pari réussi, mais plusieurs inconnues: l’évolution du pôle «réformiste» de l’échiquier syndical. La CFDT - qui n’a pas appelé à manifester malgré son peu d’enthousiasme face aux ordonnances, pourrait laisser quelques plumes dans ce mouvement. (lire)


eu.jpgEn Marche songe déjà élections aux européennes: l'objectif est double, remporter le plus grand nombre de sièges pour La République en marche (qui, bien sûr, n'en détient aucun) et constituer un groupe avec des partis européens partenaires. (lire)


ps.jpgQui pour prendre la tête du PS? (lire)




tax.jpgLes gagnants de la réforme de la taxe d’habitation:
le gouvernement envisage de revoir le financement des collectivités locales, éventuellement par une partie de la CSG. (lire)
Le niveau de vie médian des Français stagne et partage la population en deux : une moitié gagne moins, et l’autre reçoit davantage. (lire)

good time.jpgGood Time
est un film noir stimulant, fêlé, imprévisible, où l’ironie du titre se prolonge par une musique électronique souvent en dissonance avec l’action. La dérive dans les bas-fonds, entre désespoir, violence et humour noir, peut évoquer le Martin Scorsese d’After hours, pour l’enchaînement de péripéties cauchemardesques, aggravées par l’alcool et la drogue. Mais plus encore le Sidney Lumet d’Un après-midi de chien, car il reste, là aussi, un lien viscéral au milieu du chaos : Connie croit œuvrer au salut de son frère. (lire)

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