Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25 avril 2018

> La salle de presse_ 25.04_

3297695551.17.jpgLe délit de solidarité a-t-il vraiment été supprimé par la loi asile et immigration? Non, bien que des députés de la majorité aient affirmé le contraire. (lire)
Vers un nouveau groupe à l’Assemblée nationale? Ce n’est pas une fracture mais une première fissure. La cohésion du groupe La République en marche à l’Assemblée nationale a été quelque peu entamée par les longs débats sur le projet de loi « asile et immigration », adopté en première lecture dimanche. (lire)

index.pngFin des CIO: après la sélection à l’université, le gouvernement s’attaque à l’orientation au lycée et va en couper l’accès aux plus fragiles qui y avaient accès : adultes en reconversion, demandeurs d’emploi, jeunes handicapés, “décrocheurs” ou encore mineurs isolés. Une population non-scolaire qui n’en a pas moins besoin d’accompagnement et qui représente environ 30% des visiteurs des CIO. (lire)

5290264_6_40de_dans-un-atelier-a-dacca-bangladesh-le-19_89bdaef1dbd7ab195e8efc8fa58bd2b6.jpgLe devoir de vigilance des patrons: passé à la postérité comme l’un des plus grands désastres industriels de l’histoire moderne - 1 135 morts
- le Rana Plaza est aussi devenu le symbole de l’exploitation d’une main-d’œuvre bon marché, dans cette partie du monde, employée par des sous-traitants eux-mêmes contractés par de grandes firmes multinationales de prêt-à-porter qui prétendaient ne rien savoir de ce qui se passait au bout de la chaîne. (lire)

7_821830.jpgTransit: Christian Petzold adapte le roman d’Anna Seghers, publié en 1944, qui retraçait la situation de réfugiés fuyant la persécution nazie et se retrouvant coincés sur le Vieux Port, en attente d’un hypothétique visa et d’un bateau pour les États-Unis ou le Mexique. Le regard de Christian Petzold est allégorique et mystérieux. Rompre avec une part de sa patrie et de sa langue, avec ceux qu’on aime, réson­ne, bien sûr, avec l’actualité brûlan­te des migrants. Mais le cinéaste dépasse le cons­tat en laissant filtrer une possible renaissance, une réinvention de soi. (lire)

Les commentaires sont fermés.