27 avril 2016
> Ombre et lumière_
Ombre et lumière à La Candelaria, Texas. Guillermo Arias / ap
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> La salle de presse: 27.04_
> Ségolène Royal attend toujours des « preuves » pour Hinkley Point et s'inquiète pour les énergies renouvelables, face au coûteux projet de la centrale. (lire)
> Baisse du chômage: «La reprise de l’emploi s’accompagne d’une poursuite de la précarisation»: économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques, Bruno Ducoudré accueille les bons chiffres de Pôle Emploi avec prudence. S'il croit en une amélioration de la situation en 2016, il pointe toutefois une hausse des emplois précaires. (lire)
> Odéon, Comédie-Française... Pourquoi les intermittents mettent la pression: les négociations sur leur régime d'assurance chômage reprennent ce mercredi. (lire)
> Hollande et les limites du «moindre mal»: si Hollande est de nouveau candidat, il devra donner aux électeurs l’envie d’avoir envie de voter pour lui dès le premier tour. Mais pour ce faire, le refrain du «moindre mal» entonné depuis quelques semaines par les chœurs hollandais ne suffira pas. Les socialistes, après cinq années au pouvoir, ne pourront se contenter de marteler qu’une gauche, si social-libérale soit-elle, vaut toujours mieux que la casse sociale promise par une droite ouvertement ultralibérale. (lire)
> "Au secours la droite revient !" Il y a 30 ans, le PS au pouvoir interpellait (déjà) la gauche: l’enjeu est aujourd’hui de savoir si la gauche entendra l’appel des socialistes au pourvoir, un appel auquel elle était restée sourde il y a 30 ans. (lire)
> "Hé, Oh, la gauche !" vs "la Belle Alliance" : concours de brochettes au PS. Au lendemain de sa réunion publique intitulée "Hé, Oh, la gauche !" à Paris, Stéphane Le Foll a annoncé un deuxième épisode à Lille le 17 mai. Et selon "Le Canard enchaîné", la nouvelle n'a pas fait plaisir à Jean-Christophe Cambadélis, qui compte également entamer un tour de France sous sa bannière "la Belle Alliance". (lire)
> Les sympathisants socialistes gagnés par la défiance à l’égard du politique. (lire)
> Dans Les Habitants, l'important n'est pas forcément ce qui est montré, mais l'effet que ces images produisent sur le spectateur, aux prises avec sa propre imagination pour se figurer la vie de ces inconnus croisés quelques minutes. Et le dispositif lui impose d'aller au-delà des idées reçues et des jugements à l'emporte-pièce. Le film apporte le luxe suprême du doute à cet instantané d'un pays que tout le monde prétend comprendre, mais que peu de gens écoutent vraiment. Alors, pourquoi eux ? Sans doute parce que eux, c'est nous. (lire)
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