> La salle de presse: 16.06_

> Interdiction des manifestations: la CGT tient tête à François Hollande. Amnesty International France a également réagi dans un communiqué, demandant que les violences fassent "l'objet d'une enquête indépendante et approfondie" et ne soient pas "imputées sans preuve aux organisateurs". Le droit de manifester est "une liberté fondamentale". (lire)

> Loi travail : un amendement pour sortir de la crise? Sortir de la crise coûte que coûte. Vingt-quatre heures après la plus importante manifestation contre la loi travail en trois mois de contestation, le député de Saône-et-Loire Christophe Sirugue (Parti socialiste), par ailleurs rapporteur de la loi, continue de s’activer en coulisses.. (lire)


> La croissance sera-t-elle plus forte que prévu en 2016? L'Insee table sur une progression de 1,6% du PIB cette année, au même rythme que la zone euro. Avec cette prévision de croissance, l'Insee fait figure d'exception. (lire)

> «Hé oh la gauche» bat le rappel avant l'été:  face aux sondages qui ne cessent de plonger et au beau milieu du conflit social le plus long du quinquennat, les partisans historiques du Président essaient envers et contre tout de faire entendre leur petite musique positive. (lire)

> Andalusia of love:  Marcel Khalifé met en musique Andalusia of love, un long poème en prose écrit par Mahmoud Darwich (1942-2008) dans ses dernières années. Cette parabole amoureuse, dont le titre est une référence à un âge d'or de la coexistence religieuse, fait écho à l'engagement humaniste et pacifiste qu'ont toujours partagé les deux artistes. Le chant grave et dépouillé de Khalifé l'incarne à sa manière, poignante et spirituelle. (lire)

Marcel Khalifé - Andalusia of love - Nagam/Differ-ant.

 

> La salle de presse: 15.06_

> De la Floride aux Yvelines, l’internationale de la terreur: les attentats qui ont visé des policiers et des homosexuels sont l’œuvre de nouveaux «soldats» de l’État islamique. Loin des commandos organisés, ils agissent seuls : un jihad délocalisé, ciblé et insaisissable. (lire)



> Casseurs: le gouvernement en profite pour tenter de discréditer la CGT. Le 12 et le 17 mai dernier, le service d'ordre de la CGT et des éléments du cortège "autonome" s'était violemment affrontés. On a connu connivence plus fraternelle! (lire)

> Menace d’interdiction des manifestations : «alors qu’on interdise l’Euro !» s'agace FO qui ne comprend pas «qu’un gouvernement de gauche puisse interdire des manifestations organisées par des syndicats». (lire)

> Primaire à gauche: semaine décisive pour les dirigeants du Parti socialiste. Avant le conseil national de samedi, la justice déboute trois adhérents du PS qui réclamaient l’organisation d’une primaire. (lire)

> Présidentielle 2017: la primaire socialiste "vers un enterrement de première classe". Le PS pourrait se retrouver à nouveau au bord de l'implosion à moins d'un an de l'échéance présidentielle. (lire)

> Loi Sapin 2: la France et ses petits arrangements. Que chacun défende ses intérêts particuliers, composantes de l’intérêt général, est bien naturel. A l’État, d’écouter tout le monde, voire de négocier, mais en toute transparence et en s’assurant de conserver un niveau d’expertise, et de probité, qui lui assure l’indépendance face aux pressions qui l’assaillent de toutes parts. (lire)

> COP 21: la France devient le "premier pays industrialisé" à ratifier le texte négocié en décembre dernier à Paris. (lire)




> La ligne de fuite: c'est un roman brutal, poisseux et sans concession. Comme pouvait l'être l'Amérique des années 1970, assommée par les vapeurs psychédéliques. Comme l'était la guerre du Vietnam, qui a vu tant de jeunes Américains s'abîmer à 12 000 kilomètres de chez eux. Son auteur, Robert Stone (1937-2015), est de ces écrivains qui se sont calcinés au contact des guerres contemporaines et des substances délictueuses — expériences dont il a tiré une puissance créatrice quasi prophétique. (lire)

 Éditions De L'Olivier - 22,50 €