> La salle de presse: 07.03_

> Pourquoi la réforme du code du travail met en péril la sécurité et la santé des salariés: si la prise en compte de la santé et de la sécurité des salariés a progressé depuis trois décennies, et permis de sauver des vies, le projet de loi risque de réduire ces avancées sociales à néant. (lire)

> Défilé de syndicats à Matignon pour des consultations sur la loi Travail et écarter un triple risque. (lire)

> Les syndicats reçus à Matignon, FO évoque «un bras de fer». (lire)

> Compteur: en attendant les manifestations programmées ce mercredi, le gouvernement fait face à une forme de mobilisation inédite avec laquelle il va devoir apprendre à composer. Et pendant ce temps, le compteur tourne. (lire)

> François Hollande, cet incompris: comme souvent, la seule ligne de défense d'un gouvernement critiqué pour sa politique ou l'une de ses dernières lois est de plaider l'incompréhension. Citoyens, militants, éditocrates et autres élus n'auraient pas compris de quoi la politique hollandiste est le nom. (lire)



> Dans la «jungle», des avocats au service des migrants: créé en janvier, le «Legal Center», animé par des avocats et des élèves-avocats, aide les exilés à s'informer sur leurs droits, à mener des démarches administratives, à réagir en cas d'interpellation policière, et tente de s'occuper des mineurs abandonnés. (lire)


> “Une tradition démoc… diplomatique”: Ayrault rame pour justifier la Légion d’honneur au prince saoudien. (lire)

> Jean-Vincent Placé: le grand reniement, c'est maintenant. Depuis qu'il est entré au gouvernement, le secrétaire d’État contredit nettement tout ce que le sénateur Jean-Vincent Placé racontait il y a encore quelques mois dans toutes ses interviews. (lire)

> No Offence: entre polar et comédie, la série suit un trio de femmes flics au grand cœur mais aux mauvaises manières. Une fiction originale et brillante qui fait la part belle aux personnages féminins. (lire)

Lundi 7 mars à 20h55 sur France 2. "No Offence" (5,6,7 et 8/8).

 

 

> La salle de presse: 05.03_

> Loi travail: l’Élysée s’alarme d’une possible révolte des jeunes. Hanté par le CPE de 2006, l’exécutif redoute les contestations étudiante et lycéenne, qu’il juge imprévisibles. (lire)
> Semaine délicate en vue pour le gouvernement. (lire)
> Les propositions des syndicats pour modifier le projet. (lire)

> La sûreté du parc atomique français en question: en décembre, Paris se félicitait, à juste titre, du succès « historique » de la conférence sur le climat, la COP21. Si elle veut réellement se montrer exemplaire, la France ne peut étouffer dans l’œuf les énergies alternatives. Pas davantage que transiger avec la sûreté nucléaire. (lire)

> Pourquoi les politiques sont incapables de se passer des gourous de la com’: seront-ils de retour en 2017, et agiront-ils avec le même cynisme qu'en 2012, alors que le degré de défiance des citoyens envers la politique est à son paroxysme? A force, les institutions pourraient ne pas pouvoir s’en relever. (lire)


> Quelque 13000 réfugiés bloqués à la frontière samedi, entre la Grèce et la Macédoine dans des conditions d'hygiène déplorables, a indiqué un responsable grec à l'avant-veille d'un sommet entre l'UE et la Turquie. Cette réunion est jugée cruciale pour un règlement de la crise migratoire. (lire)



> Nahid: à travers son héroïne incarnée par la vibrante Sareh Bayat, c'est la lente transition d'un pays où les mères veulent rester femmes que filme Ida Panahandeh. Une héroïne fière, débrouillarde, combinarde s'il le faut. Nahid n'est pas une sainte, ce qui ajoute encore a la vitalité du film. Si elle se fait au sens propre des cheveux blancs (son ex-mari, infantile et instable, croit qu'elle s'est fait des mèches !), les foulards avec lesquels elle couvre sa tête ont des couleurs qui changent au gré de ses humeurs. (lire)