06 février 2017
> La salle de presse: 06.02_
> Ségolène Royal: "On verra si je peux être utile dans le débat présidentiel avec tel ou tel candidat". (lire)
> En quête de rassemblement, Benoît Hamon ne cède rien sur son programme: lors de son discours, dimanche, le candidat du PS a pu mesurer le chemin qu'il lui reste à parcourir pour rassembler sa famille politique. (lire)
> Hologramme et champignons: Mélenchon défie Le Pen et cible Macron. (lire)
> Se tromper d’époque, ou «l’influence des femmes»: Fillon ne comprend pas que nous vivons dans un monde où les femmes sont des «individues» à part entière. Elles ne sont pas le complément de la complémentarité des sexes. Plus encore, il ne comprend pas qu’il a superposé un schéma d’Ancien Régime avec une réalité contemporaine. (lire)
> « Difficile pour Fillon de contre-attaquer s’il ne livre pas des éléments concrets à l’appui de sa défense » pour les journalistes du « Monde » Gérard Davet et Fabrice Lhomme. (lire)
> De nouveaux éléments troublent la défense du candidat. (lire)
> Mafia et république: mines d'archives, les deux premiers volets s'achèvent sur l'affaire Markovic, la mort des grands « parrains » et la fin de la French Connection. Loin d'être anéantie, la mafia corse se relève, dans le dernier épisode, La République gangrenée, 1975-2015, en positionnant ses hommes « en marge des grands contrats d’État, des grandes entreprises et du monde des affaires ». De Jacques Foccart et la Françafrique aux méandres de l'affaire Elf, des rétrocommissions occultes à l'assassinat du préfet Erignac, l'histoire s'emballe à nouveau, à l'image des dernières vingt minutes, riches en révélations. (lire)
Arte - mardi 7 février à 20h50
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03 février 2017
> La salle de presse: 03.02_
> La belle réussite d’une industrie qui prend soin de ses salariés et de l’environnement tout en créant des emplois: à l’heure où le « coût du travail » devrait être réduit, la santé des salariés négligée et les « contraintes » écologiques combattues, Pocheco, une PME industrielle du Nord, prend le chemin inverse : celui d’une économie qui place l’écologie, l’humain et les investissements avant les profits et les dividendes. (lire)
> Une campagne présidentielle dénaturée: à force de prendre les Français pour des benêts, à force de donner à voir et à entendre de telles formes d’indifférence ou de mépris à leur égard, à force de s’affranchir de la plus élémentaire probité publique, l’on finira, d’une manière ou d’une autre, par creuser un peu plus leur dégoût de la chose publique et par provoquer leur révolte – légitime. (lire)
> Rassemblement de la gauche: EELV passe la seconde. Le Bureau exécutif d'EELV a diffusé un texte à ses adhérents dans lequel il appelle "à construire un projet commun", une discussion "sans préalable sur qui serait notre candidat commun." Manière d'annoncer le futur retrait de Yannick Jadot en faveur du candidat socialiste ? Pas si simple. (lire)
> Transparence de la vie publique, de quel argent disposent les parlementaires? (lire)
> Il y a dans Prendre des loups pour des chiens une sorte de quintessence du roman noir qui rappelle incontestablement parfois Jim Thompson. Et surtout Hervé Le Corre semble revenir à la veine plus noire sociale de ses débuts – on pense nécessairement parfois à Du sable dans la bouche – pour, riche de son expérience d’écrivain et des multiples champs d’écriture qu’il a explorés dans ses derniers romans, la rendre plus fine, moins démonstrative et donc plus puissante. (lire)
Hervé Le Corre, Prendre les loups pour des chiens, Rivages, 19,90 euros.
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