02 février 2017
> La salle de presse: 02.02_
> «Le scrutin uninominal rend difficile l’effectivité de la parité»: Mariette Sineau, directrice de recherche au CNRS, au Centre de recherches politiques de Sciences-Po, retrace les stations de ce chemin de croix qu’auront eu à gravir les femmes en politique. (lire)
> «Le sujet de la biodiversité va s’imposer pour ce qu’il est: incontournable». Il est vital et urgent de la préserver, au même titre que le climat. (lire)
> Le choix de la gauche : renverser, rêver ou réformer. (lire)
> Reçu par Hollande, Benoît Hamon préfère se « tourner vers l’avenir »: autrement dit, pas d’assumer le bilan du quinquennat, comme le lui ont demandé les ministres en exercice Bernard Cazeneuve et Michel Sapin. (lire)
> “Le Canard enchaîné”, honneur de la presse française: “sa réputation de journal trouble-fête, qui ne se laisse intimider par personne, surtout quand de l’argent public est en jeu”. (lire)
> Les juteuses activités de conseil des parlementaires. (lire)
> Une campagne de dons qui agace: tous les dons collectés pour la campagne de François Fillon sont récoltés par son microparti Force Républicaine. (lire)
> Ce qui n'est pas illégal n'est pas forcément permis: les sacrifices qu'exigent les responsables publics de leurs concitoyens ont pour contrepartie la rigueur qu'ils doivent s'imposer, même si la loi n'en dit rien. Il leur faut admettre que ce qui n'est pas illégal ne leur est pas nécessairement permis. Sans doute la morale publique n'est-elle pas une norme complémentaire ; elle reste toutefois le prix de l'exemplarité pour ceux qui l'incarnent. (lire)
> "Je suis une rescapée": la descente aux enfers de Stéphanie Gibaud, qui a dénoncé le système de fraude fiscale d'UBS. Toujours en guerre contre son ancien employeur, elle est aussi en colère contre les institutions avec lesquelles elle a collaboré. Quand Michel Sapin, le ministre des Finances, la félicite sur le plateau de "Cash Investigation" pour avoir contribué à ramener dans les caisses de l’État douze milliards d'euros, elle ne peut s'empêcher d'être amère. (lire)
> Henri Matisse: le laboratoire intérieur. Tenter d'entrer dans le cerveau de Matisse (1869-1954). Regarder à travers ses yeux. Suivre sa main avant l'envol du trait vers « l'éloquence du contour ». Aboutir enfin au moment où forme et couleur ne font qu'une. Voilà ce que propose l'éblouissant parcours de cette exposition : la quête d'un artiste en deux cents dessins et gravures mis en regard de peintures ou de sculptures majeures, dans un déroulé à la fois chronologique et thématique, rythmé en quatorze sections. (lire)
Jusqu'au 6 mars, musée des Beaux-Arts de Lyon, 1er. www.mba-lyon.fr
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01 février 2017
> La salle de presse: 01.02_
> Amnésie: Penelope Fillon a la mémoire qui flanche et «ne se souvient pas avoir signé» de contrat de travail. (lire)
> Quand Fillon refusait de voter le projet de loi sur la transparence de la vie publique et qu’il « voyait bien » qu’une « sorte de doute planait sur l’ensemble des responsables politiques ». À raison? (lire)
> Les députés sur le point d'adopter une loi empêchant de se présenter en cas de condamnation mais en raison de l'échéance présidentielle, elle ne sera pas adoptée tout de suite par le Sénat. (lire)
> Une métamorphose périlleuse: Le vainqueur de la primaire de gauche, entame sa mue. Exit le conjuré, le comploteur, le diviseur. Bonjour, le grand rassembleur. Le quinquennat de Hollande qu'il a piétiné allègrement ? Pas si mal, après tout. Dans le camp de Hamon, les caméléons sont de sortie. (lire)
> Jean-Luc Mélenchon invite Benoît Hamon à choisir «entre eux et nous». (lire)
> Moonlight suit le parcours d’un jeune Noir homosexuel issu d’un quartier pauvre de Miami, depuis son enfance jusqu’à l’âge adulte. Une quête d’identité traversée par le rejet et l’insulte qu’illumine une approche pleine d’élégance et d’empathie. Moonlight n’instruit pas un (lourd) dossier, il ne croit pas aux raccourcis trop explicites des causalités induites par les seules sociologies politique et psychologie sociale. Quelque chose toujours échappe qu’il appartient à la fiction d’attraper au vol, à l’impureté du récit de cristalliser, au cinéma de saisir entre chien et loup. (lire)
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