> La salle de presse: 09.12_

> Alep, "le temps des excuses est fini": l'appel de 36 parlementaires à Hollande et à son ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault pour un largage aérien d’aide humanitaire. (lire)



> Primaire à gauche:
| le PS veut limiter le nombre de candidats et en rejette trois. Mais la cacophonie provoquée par l'exclusion des trois candidats risque avant tout de brouiller le message des organisateurs. En attendant, le bal des dépôts de candidatures, déjà bien engagé, va se poursuivre. (lire)

| Les militants socialistes dans l’incertitude: tous n’ont qu’une crainte, que la gauche soit incapable de se rassembler avant la présidentielle. (lire)

> L'évacuation de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes ne se fera pas sous Hollande: jugée trop dangereuse. Le dispositif d'intervention est prêt et les forces de l'ordre pourraient se mettre en marche si l'exécutif donnait le feu vert. Mais l'arbitrage se fera uniquement à l'Élysée, qui prend bien soin de garder le silence sur le dossier. (lire)

> La loi Sapin 2 rabotée par le Conseil constitutionnel: à la grande surprise des ONG actives sur le sujet, le Conseil constitutionnel censure le  reporting public pays par pays et une disposition de la loi bancaire de 2013 imposant cette transparence aux banques. (lire)

> Avec Jamais je n’aurai 20 ans, Jaime Martin continue de raconter l’histoire familiale en se concentrant cette fois sur la vie de sa grand-mère Isabel. Si Jaime Martin rend ici un bel hommage au courage et à la débrouillardise de ses grand parents, il entend également dépeindre la société franquiste de l’époque : les règlements de compte qui suivirent la défaite des républicains, le puritanisme et l’autoritarisme que le gouvernement imposait à la société. (lire)

Jamais je n'aurai 20 ans, de Jaime Martin, Aire Libre, 24 euros.

> La salle de presse: 08.12_

> Il n'y a pas deux gauches, mais quatre, cinq, dix... Depuis l'installation de François Hollande à l’Élysée en 2012, elle a perdu les municipales, le Sénat, et ses présidences de régions. Le parti de Jaurès et de Blum compte aujourd'hui 60.000 adhérents contre 250.000 en 2007. Et il n'a plus guère d'alliés.  (lire)

> Primaire du PS: le grand embouteillage. Treize candidats pour cette primaire, quasiment une équipe de rugby! (lire)

> Casseroles, Comté et engueulade, le cocktail d'enfer du candidat Valls qui redescend dans l'arène de la primaire et tente de parler à toute la gauche. Pas gagné. (lire)

> Pierre Laurent (PCF): "Valls prend les Français pour des imbéciles". (lire)

> Fragilisés, les militants PS votent pour désigner leurs candidats aux législatives: dans certaines circonscriptions, les affrontements pour les législatives donneront lieu à des situations complexes. (lire)
> Le patron du PS contesté par les siens sur ses terres à Paris: Solférino a dû intervenir face à une soudaine recrudescence des adhésions. (lire)

> Le Mexique, matières à creuset: au Grand Palais, une riche exposition montre comment les courants picturaux nés en Europe au début du XXe siècle ont influencé les artistes du pays ensanglanté par la Révolution de 1910. Ça commence dans les galeries parisiennes et ça finit dans un champ de cactus, à l’ombre d’une pyramide aztèque, entre statues et pendus. Ou sur un de ces marchés mexicains décrits par D.H. Lawrence, là où les sombreros, les agaves et les fleurs dessinent des angles que la lumière aiguise et que l’ombre fait saigner, sous la plume enragée de l’écrivain. (lire)

Mexique, 1900-1950 Diego Rivera, Frida Kahlo, José Clemente Orozco et les avant-gardes - Grand Palais, Galeries nationales, 75008. Jusqu’au 23 janvier. www.grandpalais.fr