28 novembre 2016
> La salle de presse: 28.11_
> L'affrontement Hollande-Valls en cinq phrases: alors que la droite élisait son candidat pour 2017, la gauche a passé un week-end difficile. (lire)
> Manuel Valls a quitté l’Élysée après 2 heures de déjeuner avec François Hollande, "ambiance cordiale et studieuse". (lire)
> Crise de régime: à partir de combien d’électrochocs déclare-t-on un patient définitivement perdu ? Déstabilisée depuis le début de l’automne, la majorité a vécu ce week-end une série de coups de chaud inédits, de nature à faire basculer la crise politique qu’elle traverse en crise institutionnelle. (lire)
> Le « carrefour » de Martine Aubry n’a pas trouvé la sortie, percuté par la mort de Fidel Castro et l’offensive de Bartolone. (lire)
> Moscovici aux Grecs: vous reprendrez bien un peu d'austérité? Encore un effort. C’est ce que demande, sans gêne, le commissaire européen aux Affaires économiques à la population grecque, dejà saignée par six ans de rigueur. (lire)
> Sacrifice: on ne reprochera certainement pas à la très prolifique Joyce Carol Oates d'avoir choisi la facilité et le politiquement correct avec le magistral et abrasif Sacrifice, qui compte assurément parmi ses plus grands romans, ses plus culottés. On ne la taxera pas non plus d'opportunisme, car l'Américaine avait déjà abordé les tensions sociales et raciales dans l'un de ses premiers ouvrages, Eux, paru en 1969. (lire)
Sacrifice (The Sacrifice) par Joyce Carol Oates, Ed. Philippe Rey, 22€.
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25 novembre 2016
> La salle de presse: 25.11_
> P. Martinez (CGT): Fillon et Juppé qui veulent supprimer de 250.000 à 500.000 fonctionnaires, sont "décalés avec la vraie vie": il leur suggère "d'aller dans un hôpital". (lire)
> Le chômage choit, Hollande chauffe: officiellement, rien n’est prêt pour la bataille. (lire)
> Pronostic. (lire)
> "Et nous, alors ?" Face à la primaire réussie de la droite, le PS s'impatiente: alors que la primaire à droite fait le plein d'électeurs - plus de 4 millions de votants au premier tour ,- au Parti socialiste, les partisans de la primaire à gauche trépignent d'impatience. Et attendent désespérément que François Hollande arrête enfin sa décision. (lire)
> A l'étalage du Bazar des mauvais rêves, on retrouve la « marchandise » fétiche de King, ses épouvantails, ses victimes, ses bourreaux ordinaires, mais aussi son humour noir, son formidable talent de conteur, et même son amour fou pour la littérature américaine. Si on est immédiatement mordu de ces vingt nouvelles qui « ont des dents », comme il est écrit dans une malicieuse introduction, c'est aussi parce que le maître de l'épouvante nous accompagne constamment en personne. L'homme a toujours adoré s'adresser à ses lecteurs. (lire)
Le Bazar des mauvais rêves, Stephen King - éd. Albin Michel, 23,90 €.
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