02 décembre 2016
> La salle de presse: 02.12_
> Les mots de Hollande sont ceux qui ont tant fait défaut lors de ce quinquennat: François Hollande avait été élu, en creux et par contraste, sur un adjectif : normal. Mais à la profusion, l’emphase, l’outrance de son prédécesseur, a succédé… une impression de vide, et une interminable attente d’éclaircissements qui ne sont jamais vraiment venus. (lire)
> Hollande renonce : "Ça peut être utile que je me sacrifie", aurait-il lâché. (lire)
> Cinq années d’incompréhensions: tout est peut-être parti d’un énorme malentendu : «le changement, c’est maintenant». F. Hollande a pensé que chasser Nicolas Sarkozy suffirait à lui donner du temps. Il n’en avait pas. Surtout, il a pensé que sa gauche n’avait pas besoin d’être convaincue par une politique économique, pourtant en décalage avec ses promesses de campagne. Il a pensé qu’elle le suivrait. (lire)
> Tout a commencé par un SMS à 16h30... (lire)
> Et pendant ce temps-là, Poutine rêve déjà de son prochain mandat: jeudi soir, le président russe a profité de son traditionnel discours annuel à la nation pour promettre des réformes... pour son prochain mandat, son quatrième s'il était élu. (lire)
> Les guerriers d'Ousmane Sow, géant de la sculpture. (lire & voir)
> Désorientale: de cette saga familiale, qui ressemble beaucoup à la sienne, Négar Djavadi, née en Iran en 1969, a tiré un extraordinaire premier roman. Diplômée d'une école de cinéma de Bruxelles, aujourd'hui scénariste, elle fait jaillir les images, résonner les mots et rythme les tempos avec une maestria digne des plus aguerris. Maternité, sexualité, machisme oriental, douleurs de l'exil, Désorientale est d'une richesse impressionnante. (lire)
"Désorientale" de Négar Djavad , éditions Liana Levi, 22€
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01 décembre 2016
> La salle de presse: 01.12_
> Hollande candidat ? Quatrième jour de brouillard au sommet de l’État: depuis dimanche, la majorité, le gouvernement, les entourages de François Hollande et Manuel Valls ainsi que les journalistes sont dans un état d’apesanteur politique rarement égalé. Certains préfèrent rire que pleurer de ce capharnaüm délétère. (lire)
> A gauche, chronique d’un suicide annoncé: au train où vont les choses, on risque fort d’assister, au printemps 2017, à un spectacle calamiteux qui verrait se cumuler trois scénarios : un candidat socialiste écarté du second tour avec moins de 10 % des voix et une gauche laminée aux législatives qui suivront. (lire)
> Le Parti socialiste, jusqu'à l'absurde: le scénario s’écrit au fil des jours, inexorablement. Il ressemble de plus en plus à ces mauvais films dont on connaît la fin. La seule inconnue qui demeure est de savoir combien de spectateurs seront restés dans la salle, lorsqu’on aura rallumé les lumières, après le générique. (lire)
> Un collectif d'élus appelle à penser le socialisme du XXIe siècle.Tant de candidats pour si peu d’idées…faute d’idée directrice et de vision du monde, la gauche de gouvernement s’est parfois lourdement trompée, comme ce fut le cas lors du débat navrant sur la déchéance de nationalité. (lire)
> "Magouille", "complot": le recasage de l'ex-ministre PS Daniel Vaillant vire au psychodrame. C'est une affaire aux allures de pièce de boulevard dont le landerneau politique a tristement le secret. (lire)
> En Afrique du Sud, 5 000 volontaires testent un vaccin contre le Sida: pour la première fois peut-être depuis l'identification du virus en 1983, les scientifiques pensent avoir trouvé un candidat prometteur. Et le choix de l'Afrique du Sud pour tester ce vaccin à grande échelle n'est pas anodin. Le pays enregistre un des taux de prévalence les plus élevés au monde. (lire)
> Le jour de paix est arrivé: pas une seule voix contre. Mercredi soir, le nouvel accord de paix signé le 24 novembre entre le gouvernement et les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) a été ratifié par les 130 députés présents dans l’hémicycle, sur un total de 166. (lire)
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