07 avril 2017
> La salle de presse: 07.04_
Mania - Soulcié/Battrelacampagne
> La Guyane, malade économique: malgré un secteur public important et la présence du centre spatial, l’argent manque dans les caisses et la région-département ne parvient à se sortir de la pauvreté. Avec 22% de chômage et 44% de pauvreté, la Guyane peine à maintenir la tête hors de l’eau. (lire)
> La France va mieux. Elle est scandalisée par sa classe politique. (lire)
> Le PS et En Marche ! dans la bataille des législatives: confronté à la faiblesse de la candidature de Benoît Hamon, le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis a sonné – sans doute un peu tardivement – l’heure de la mobilisation, jeudi 6 avril. (lire)
> Parti socialiste et Républicains : bonjour, détresse! Cette élection présidentielle a des allures de grand huit de fête foraine. Deux mouvements, en respiration artificielle, sans chef, sans boussole, avançant dans la tempête au gré des vents, avec une seule obsession : en finir au plus vite avec cette douloureuse agonie. (lire)
> Où va le Parti socialiste? Ils ne lisent pas dans le marc de café mais ont une petite ou grande idée de l’avenir du Parti socialiste. Pour la bonne raison qu’ils en sont ou en ont été les élus. (lire)
> L'ETA prête à se dissoudre: après la remise de ses dernières armes, prévue ce samedi 8 avril en France, l’organisation séparatiste basque ouvrira le débat sur sa dissolution. Une annonce est attendue avant la fin de l’année. (lire)
> Osons la politique! a le toupet de nous (re)donner foi en la politique. Caroline de Haas annonce la couleur d’emblée : son livre est militant. Féministe, antiraciste, écologiste. De gauche. Les hommes blancs quinquagénaires de milieux sociaux favorisés qui trustent les postes à responsabilité en prennent pour leur grade, eux qui sont «réellement déconnectés» des réalités de terrain. Pas de pitié non plus pour les politiques qui ne tiennent pas leurs promesses de campagne. (lire)
Osons la politique! de Caroline de Haas, La ville brûle, 9 euros.
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06 avril 2017
> La salle de presse: 06.04_
> Un sursaut diplomatique est-il possible? Vingt-deux ans plus tard, rien n’a changé. Mardi soir, l’attaque contre le village de Khan Cheikhoun n’a été évoquée que par un seul des 11 candidats réunis pour un débat télévisé : Benoît Hamon. Silence radio de François Fillon, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon, qui épargnent soit Bachar al-Assad, soit Vladimir Poutine. Session de rattrapage express mercredi pour Emmanuel Macron, pour qui Al-Assad devra «répondre de ses crimes devant des tribunaux internationaux». Le dictateur a dû être impressionné. (lire)
> Le PS prépare déjà l’après-présidentielle: les manœuvres commencent au Parti socialiste. Les « éléphants » préparent déjà l’après-présidentielle, reconnaissant pour beaucoup, en privé, que les chances de leur candidat, Benoît Hamon, d’être élu le 7 mai sont désormais largement compromises. Pas question, dès lors, d’attendre la défaite annoncée sans agir. Surtout si l’hypothèse d’une victoire d’Emmanuel Macron devait se vérifier, hautement dangereuse pour la survie, à terme, de la Rue de Solférino. (lire)
> Les sondeurs, tous pro-Macron? Pourquoi c’est inexact: la rumeur est répandue sur les réseaux tant par les soutiens de Jean-Luc Mélenchon que par ceux de Marine Le Pen. Or, cette intox s’appuie sur des informations obsolètes, voire fausses. (lire)
> Les candidats et les intellos de gauche: face à «l’urgence démocratique», des universitaires, qui s’étaient éloignés du PS, s’investissent dans la campagne et voient leurs idées hissées au niveau national. Sans toujours parvenir à faire partager leur enthousiasme. (lire)
> Félicité: remarquable auteur de fictions débarrassées de toute esbroufe exotique (L'Afrance, Aujourd'hui), Alain Gomis tourne avec le souci permanent de capter du réel africain ce qu'il a de plus concret mais, aussi, de plus lyrique et de plus profond. Félicité, son nouveau film, primé à Berlin et à Ouagadougou, se déploie à la façon d'une plongée au cœur de Kinshasa, ogre de 13 millions d'habitants qui ensorcelle autant qu'il fait peur. (lire)
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