14 juin 2017
> La salle de presse: 14.06_
→Migrants: le Défenseur des droits dénonce une situation d’une «inédite gravité» à Calais et exhorte les pouvoirs publics à «ne pas s’obstiner dans ce qui s’apparente à un déni d’existence des exilés». (lire)
→Entre des promesses à tenir et un déficit à contenir, c'est compliqué pour Macron: pendant la campagne électorale, Emmanuel Macron a fait des promesses coûteuses pour les finances publiques. Les prévisions de déficit pourraient remettre en cause certains de ses engagements. (lire)
→Code du travail: la folle entreprise du gouvernement. Négociation du motif de licenciement, primauté des accords d’entreprise sur le contrat de travail… Les pistes de réforme dévoilées la semaine dernière sont bien sur la table de la concertation engagée lundi par l’exécutif avec les partenaires sociaux. Des mesures radicales. (lire)
→Fuite de documents dans Libération: le ministère retire sa plainte pour "recel". Une vingtaine de sociétés de journalistes se sont alarmées mardi, dans une tribune publiée sur plusieurs sites, de "signaux extrêmement préoccupants" envoyés par le gouvernement en matière d'"indépendance des médias" et de "protection des sources". (lire)
→Législatives: les députés socialistes ne devraient être plus qu'une douzaine à l'Assemblée. Le PS et ses alliés pourraient obtenir entre 15 et 40 sièges le 18 juin. Mais à y regarder de plus près, la situation est encore plus désespérée pour le parti au poing et à la rose, dont les effectifs à l'Assemblée nationale pourraient être divisés par 20! (lire)
→Non, Emmanuel Macron n'aura pas tous les pouvoirs: il y a des équilibres intangibles qui garantissent des droits à l’opposition. (lire)
→Dans Creepy, Kiyoshi Kurosawa multiplie les fausses pistes narratives avec une habileté diabolique et séduisante. Il déjoue dans un premier temps les attentes du spectateur pour mieux les combler ensuite. La séquence d'ouverture, inspirée par Le Silence des agneaux, promet-elle un thriller sous haute tension? Le film vire à la farce noire avec l'apparition du voisin excentrique qui apporte une vraie bouffonnerie à son personnage. Mais un vrai malaise, aussi : quoi de plus angoissant que le sourire d'un clown? (lire)
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