29 mars 2018
> La salle de presse_ 29.03_
→Comment la France coopère avec un régime qui pratique la torture, traque les homosexuels et bâillonne les journalistes: Paris est devenu le premier exportateur d’armes vers le Caire et son régime qui réprime toute opposition. Dans ce conflit interdit aux journalistes, ces équipements côtoient des armes prohibées, et les risques de violations des droits humains sont sérieux. (lire)
→Maux et remèdes: les maires diagnostiquent leur cœur urbain. L’unanimité se fait autour de l’idée de conserver les services publics dans le centre-ville. (lire)
→"Je ne vois pas ce qui vous donne le droit de virer les journalistes de l’Élysée": quand une histoire de bureaux sert de révélateur à une défiance qui s'est installée mois après mois... Nous ne sommes pas dans un "open space", mais à l’Élysée, où les journalistes accrédités pour suivre Emmanuel Macron vont devoir déménager. (lire)
→Avec la réforme Pénicaud, le gouvernement promeut le pantouflage des hauts-fonctionnaires: application ultime du modèle "start-up Nation" , ce projet de loi, qui sera présenté en Conseil des ministres à la mi-avril, souhaite favoriser la mobilité des fonctionnaires dans le secteur privé. (lire)
→PS: les enjeux de l’élection d’Olivier Faure au poste de premier secrétaire. Il y a deux semaines, ils étaient 37 014 militants socialistes à prendre part au vote du premier tour, sur les 102 000 revendiqués par le parti. Pas sûr qu’ils soient autant à se déplacer jeudi soir, alors qu’Olivier Faure est sûr de l’emporter. (lire)
→Valls, un spectre très médiatique: principal artisan, avec François Hollande, de la déroute du quinquennat précédent, il aura réussi à rétrécir l’espace de son parti, façon chef des Jivaros. Il a tellement détruit son camp qu’il n’y avait pas de candidat défendant l’orientation du quinquennat à l’élection présidentielle. (lire)
→Kupka, la conquête de l’abstraction: pacifiste, féru de philosophie, végétarien, Kupka fait preuve d’une modernité permanente, que le parcours chronologique retrace. Du symbolisme à la caricature de presse, pour gagner sa croûte, de l’expressionnisme à un détour par la peinture mythologique, Kupka ne rentre jamais dans aucune case. (lire)
Kupka, pionnier de l’abstraction, jusqu’au 30 juillet 2018.
Galeries Nationales du Grand Palais à Paris (8e) www.grandpalais.fr. Catalogue Ed. M (49 €).
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