29 avril 2014
Comme un avion sans aile
(Na!)
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| 29 avril '14
Campagne électorale à Bénarès, Inde: barbier de rue portant les couleurs du BJP (droite nationaliste hindoue). Ishan Tanka pour Le Monde.
Valls manie la carotte et le bâton: même si le vote sur le pacte de responsabilité et le plan de stabilité budgétaire n'est qu'indicatif, il en dira long sur l'état dans lequel se trouve la majorité - ou ce qu'il en reste - et sur le niveau de confiance dont disposent François Hollande et Manuel Valls auprès du groupe socialiste. (lire)
Pacte de stabilité: «Une majorité qui n'est plus derrière son gouvernement est une majorité qui disparaît». (lire)
Cambadélis: « L'échec de la gauche face au FN est total ». Le PS n'a pas pris la mesure de notre époque. Il fonctionne toujours sur de vieux logiciels. Sa sémantique est devenue effroyablement technocratique. Il donne l'impression d'un entre-soi qui écrase la politique. (lire)
Faillite: l'affaire Alstom est un parfait cas d’école pour illustrer les contradictions, l’absence d’anticipation et l’impuissance criantes de l’Etat dans les affaires industrielles du pays.
Les greffiers en lutte pour leur statut: depuis plusieurs semaines, la colère monte dans les tribunaux. Face aux perspectives de réforme de la justice proposées par le gouvernement, les greffiers ont été les premiers à revendiquer des moyens pour travailler. (lire)
Un inquiétant cocktail de pesticides dans les cheveux des enfants: l'étude de Générations Futures révèle que des pesticides interdits d'usage en France depuis des années ont été retrouvés dans les échantillons. (lire)
A la recherche de la fortune cachée de Vladimir Poutine: la Maison-Blanche a pour la première fois nommément cité Vladimir Poutine, comme la cible de sanctions, par le biais du co-fondateur de Gunvor, une entreprise de négoce d’hydrocarbures basée en Suisse. (lire)
La Renaissance renaît à Florence: l’exposition croisée de Pontormo et Rosso Fiorentino confronte deux maniéristes aux trajectoires opposées. Non seulement les prêts y sont formidables, mais le visiteur se voit offrir le luxe d’un nouveau regard sur des tableaux habituellement noircis et inapprochables dans la pénombre des églises. Près d’un tiers des peintures a été restauré, dont un chef-d’œuvre comme la Visitation de Pontormo. (lire)
Pontormo et Rosso Fiorentino au Palazzo Strozzi, à Florence. Jusqu’au 20 juillet. www.palazzostrozzi.com
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