22 avril 2014
Réserves
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| 22 avril '14
Ecotaxe: les autoroutes dans la ligne de mire de Ségolène Royal. Les sociétés d'autoroutes vont-elles être mises à contribution pour financer les infrastructures de transport à la place de l'écotaxe ? Ségolène Royal n'a pas explicitement lancé cette proposition, mais elle s'applique depuis une semaine à en installer l'idée. (lire)
Conseiller spécial de Ségolène Royal, le nouveau défi de Jean-Louis Bianco: "Elle apporte une voix forte sur ces enjeux environnementaux." (lire)
A la recherche d'un nouvel ordre moral? Éric de Montgolfier. Un de chute... un de plus ! Voici qu'Aquilino Morelle, un proche conseiller du président de la République, l'un de ses inspirateurs dit-on, a dû s'éloigner du palais de l'Élysée sur un soupçon de conflit d'intérêts. (lire)
Plan d'économies: tout le débat se passe au PS. C'est l'aspect paradoxal, inédit, de la mutinerie qui a gagné les rangs du Parti socialiste depuis la défaite aux municipales. Il ne se passe plus un jour sans qu'un parlementaire de la majorité ne s'exprime, propose des idées, des alternatives aux difficiles réformes engagées par le gouvernement. (lire)
Bruno Le Roux: « Sur la situation des plus fragiles, il doit y avoir des marges de discussion avec les gouvernement ». (lire)
Thierry Mandon dit-il vrai sur l'impôt des entreprises françaises? Pendant la campagne présidentielle de 2012, François Hollande avait promis dans son projet pour la France de mettre en place trois taux d'impositions différents. Mais pour l'instant, le chef de l'Etat n'a pas tenu cette promesse. (lire)
En Syrie, la tragédie continue sans merci: quatre hommes ont été arrachés au cauchemar syrien. On ne peut que s'en réjouir. Mais le soulagement de ces libérations ne doit pas faire oublier pourquoi ces quatre journalistes étaient partis en Syrie : rendre compte, malgré la double menace du régime de Bachar Al-Assad et des djihadistes de l'Etat islamique en Irak et au Levant, du plus barbare des conflits du XXIe siècle. (lire)
Le grogue, une fièvre à 40 degrés: Santo Antão - Cap Vert - perpétue la tradition du rhum local. Un breuvage si prisé qu’il menace la biodiversité. Distillation de la canne au verre. «Le grogue, c’est l’identité du Cap-Vert. Il faut le faire connaître au monde, tout en protégeant la nature. Si on y parvient, on sera des pionniers en Afrique. S’il est bien fait, le grogue une boisson merveilleuse.» (lire)
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