La fin

(Chimulus)

| 27 mai '13

Musiciens de rue à Panama. Arnulfo Franco / ap / sipa

François Hollande ou le quinquennat bloqué: deux ans après l'élection de François Hollande à l'Elysée, il n'y a désormais plus de doute sur l'ampleur de la crise de confiance politique et sociale qu'il affronte également. (lire)

Hollande et l'Europe: dîner de sourds ce soir à Bruxelles. Une nouvelle politique pour une autre donne ? C'est là que le bât blesse. Comme si elle anticipait la plaidoirie française, Angela Merkel a déjà répondu "non". (lire)

Les leçons de Matteo Renzi à F. Hollande et M. Valls. Contrairement au PS, la gauche italienne a remporté une belle victoire dimanche. Comment-fait-elle? (lire)

Le matin où Copé a fini par lâcher. (lire)

Alstom le chat, Siemens la souris: le groupe allemand n’est pas encore prêt à déposer l’offre de rachat du fleuron français. Son patron est auditionné mardi à l’Assemblée. (lire)


Quand le Mali perd foi en la France: c'est bien à Bamako, où le président français était accueilli en héros en février 2013, que l'on reprend aujourd'hui les paroles du chanteur de reggae ivoirien Alpha Blondy : « Armée française allez-vous-en ! » (lire)

Luzmila Carpio, Inca de force majeure: née en 1949, Luzmila Carpio offre des complaintes hypnotiques qui semblent venir d’une autre planète. En 1992, «les célébrations de la prétendue"découverte" de l’Amérique avaient été mal perçues par le monde indigène. Notre réveil date de ce moment.» Pour faire découvrir aux communautés la richesse de leur culture, l’Unesco et l’Office de coopération suédois lui proposent d’enregistrer des chansons qui seront diffusées gratuitement dans les campagnes. Les textes évoquent l’héritage culturel mais aussi les droits des femmes, la ségrégation raciale. (lire)

Luzmila Carpio : Yuyay Jap’Ina Tapes (Almost Music)