26 septembre 2014
> La salle de presse: 26.09
Coucher de soleil sur un parc de Kaboul, Aghanistan. Adnan Abidi / reuters
> 9 millions d'euros d'économies: quand l’Élysée donne l'exemple. Promesse tenue pour François Hollande : le budget de la présidence est passé de 109 millions en 2012 à 100 millions d'euros pour 2015. (lire)
>> Comme un air de déjà-vu. (lire) >> Converti à la primaire, officiellement: un engagement qui pourrait ne se révéler que de façade. (lire)
> Affaire Bygmalion: ce que Jérôme Lavrilleux a dit à la police. (lire)
> Sénatoriales: >> Le Front national en embuscade. Fort de ses bons résultats aux municipales et aux européennes, le FN espère faire rentrer un ou deux élus à la Haute assemblée. Dans le Var et les Bouches-du-Rhône, l'hypothèse paraît plausible. (lire)
>> Pourquoi la gauche ne craint pas un Sénat à droite. (lire)
> Au Medef, l'intox ne connaît pas de jour férié etcumule les approximations sur la durée du temps de travail et l'impact de la suppression éventuelle de deux jours fériés. (lire)
> Petits arrangements bruxellois entre amis du bisphénol A: qui veut la peau des perturbateurs endocriniens? Certainement pas le lobby de la chimie, qui tente par tous les moyens de ralentir les travaux de la Commission européenne, chargée de régler leur sort. (lire)
> Soleil dedans: Arthur H défait ses codes, allant jusqu'à chanter d'une voix haute et limpide qu'on ne lui connaissait pas. A l'image de ce timbre éclairci, la musique gagne de l'espace. Elle respire, et nous avec. Des bruitages, en intro des chansons, nous emmènent ailleurs. Les mots, pourtant, peuvent se faire couperets. Les plus puissants disent l'enfermement, dramatique ou désespérément banal. L'amour, le voyage, la rêverie, surgissent telles des consolations, allumant les soleils intérieurs d'un chanteur de plus en plus partageur. (lire)
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25 septembre 2014
> L'étoile des sables de Mauritanie
Tzenni de Noura Mint Seymali: Noura Mint Seymali est une icône de la musique mauritanienne – elle a chanté dès l’âge de 13 ans. Tzenni est une déflagration tellurique. Seymali s’inscrit dans la tradition griotte de cet art maure qui, dans les tourbillons des sables de Mauritanie, répond depuis des lustres aux boues du Mississippi. la fièvre de la Mauritanienne saisit l’audience par son évidence, sa capacité à transmuter le vulgaire en liturgique, et le funk et la pop en idiomes définitifs. Depuis Nouakchott et les déserts mauritaniens, la mise en orbite d’une étoile. (lire)
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