> La salle de presse: 07.01

> Attaque dans les locaux de «Charlie Hebdo»... une attaque d'une ampleur inédite dans l'histoire des médias français. (lire)

> Malaise: rien ne permet de dire, comme les syndicats de médecins, que la santé française soit menacée d’étatisme. Il n’y a sans doute pas de médicament miracle pour soigner le malaise médical, mais ministre et docteurs ont tout intérêt à trouver une solution pour la bonne santé des Français. (lire)

> Vingt propositions pour plus de transparence dans la vie publique: en matière de « République exemplaire », François Hollande est avide de bons conseils. Un mois à peine après l’affaire Thévenoud, il demandait au président de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique de lui faire parvenir une liste de recommandations pour améliorer la probité de la vie publique. (lire)

> Intermittents: ce que préconise le rapport qui peut mettre fin au conflit. (lire)

> La démission de Thierry Lepaon oblige la CGT à revoir son orientation. (lire)

> Le PS n'a plus la majorité absolue à l'Assemblée. Pas besoin d'attendre la législative partielle dans le Doubs. Le départ du député Jean-Pierre Maggi début janvier, et celui de Philippe Noguès, tenté de suivre le même chemin, prive d'ores et déjà le PS de sa majorité absolue, malmenée depuis deux ans, au Palais Bourbon. (lire)

> «Le Rassemblement», ce microparti prêt à céder son nom à l’UMP... à trois petites conditions. (lire)

> Grèce: la gauche radicale inquiète la presse. L’occasion, pour une partie de celle-ci, de rejouer la petite mélodie de l’irresponsable « chantage grec », sur fond de promesses d’apocalypse européenne en cas de victoire de la gauche aux élections. (lire)

> Génocide au Guatemala, les enjeux d'un second procès: Efrain Rios Montt, ancien dictateur au pouvoir entre 1982 et 1983, est accusé du génocide d'au moins 1 771 Indiens mayas. (lire)


> Hard Day:  le second film du Sud-Coréen Kim Seong-hun, est une variation, drôle, rythmée et cruelle, sur le principe identificatoire. Avec un bel acharnement, le film ne se contente pas de torturer indéfiniment, et avec des trésors de raffinement, un pauvre type aussi détestable soit-il sur le papier, collectionnant à peu près tous les travers humainement possibles. Il vient chercher en prime une critique sociale hargneuse, soulignant dans un dénouement sans pitié que cet homme vraiment sans qualité n’est rien d’autre que ce que mérite une société accumulant tous les maux du monde. (lire)

 

 

 

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