25 novembre 2015
> Jeux
Un groupe d'enfants jouant dans un camp de réfugiés à Islamabad au Pakistan.
Emilio Morenatti / ap
Publié dans HORS SERIE, L'EDITO | Lien permanent | Commentaires (0)
> La salle de presse: 25.11
> En 2015, une femme sur cinq victime de violences physiques en Europe: pour certains, le 25 novembre, c’est la Sainte-Catherine. Pour d’autres, c’est la Journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes, organisée par les Nations unies depuis 1999. Objectif : promouvoir le droit des femmes et, surtout, sensibiliser le public, l’informer de la situation des femmes, réaffirmer la nécessité d’un combat indispensable. (lire)
> «Nous devons changer notre modèle commun, notre façon de vivre», pour Nnimmo Bassey, activiste nigérian, directeur de Health of Mother Heart Foundation, ancien président des Amis de la Terre international et Prix Nobel alternatif 2010. (lire)
> Valls tente de regagner du crédit auprès des socialistes: seulement six têtes de listes sur les treize ont répondu à l’invitation de Manuel Valls mardi en fin d’après-midi au siège du Parti socialiste à Paris. Objet de la réunion : que les candidats du PS aux élections régionales soient aussi fiers de lui que du Président. (lire)
> Sur les migrants, Valls se lâche devant la presse étrangère. (lire)
> Pacte de stabilité et sécurité: le défi de l'Italie à la Commission européenne. (lire)
> Afghanistan | Pourquoi Kaboul ne peut pas partager le deuil de Paris: deux jours avant les attentats qui ont frappé Paris, la capitale afghane était le théâtre d’une grande manifestation contre le terrorisme. Un événement passé sous silence. Tant que leurs appels à la paix ne seront pas entendus, les Afghans “ne seront pas en mesure de comprendre pourquoi ils devraient être en deuil pour Paris”. (lire)
> Une coalition sous de nombreuses conditions: alliances, solides, bancales ou de circonstance, face à l’État islamique. (lire)
> Ixcanul: Jayro Bustamante est originaire du Guatemala et, pour son premier long métrage, il décide de parler de ses racines et du peuple qu’il a quitté jeune pour aller apprendre le cinéma. C’est donc un retour aux sources qui prend la forme d’une histoire dont la tension monte crescendo. Ixcanul se focalise sur une jeune ado en apprentissage de la vie et qui ne va pas tarder à se révolter, impose une mère comme une véritable force de la nature, une nature très importante pour ce peuple qui communie avec. (lire)
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (0)