> Une semaine chargée

Chimulus

> La salle de presse: 23.11

Un bateau de pêche dans la mer Égée. Yannis Behrakis / reuters

> « L’urgence climatique et l’urgence terroriste posent la même question ». Oublier le climat pour se concentrer sur la sécurité est contre-productif aux yeux de François Gemenne, spécialiste des migrations. Ces deux questions nous rappellent qu’« il va falloir faire des choix qui touchent à notre rapport à l’autre ».. (lire)


> Région et ministère: Le Drian s'autorise le cumul. (lire)

> Régionales: les attentats changent la donne au PS. (lire)




> La voie étroite de François Hollande: la France s'affiche comme une puissance morale avec des valeurs. C'est important, mais pas suffisant. Pour le chef de l’État français, la voie est étroite. Surtout si le consensus politique en France d'après le 13 novembre vole en éclats à l'approche des élections régionales. (lire)

> Une France enfermée dans « la guerre contre le terrorisme »: Il y a deux façons de répondre aux attentats qui sont survenus en France. La première, c’est une approche sécuritaire technique, militaire, inadaptée et contre-productive. La seconde est une approche politique et diplomatique: la seule qui puisse réellement contrer le djihadisme, abordée au moins simultanément et avec force. Maintenant. (lire)

> Interdire les prêches en arabe ? Le PS relance une idée que l’UMP jugeait inapplicable. La loi de 1905 ne permet pas d'autoriser ou d'interdire une langue dans un prêche. (lire)

> État d'urgence: une perquisition musclée. (lire)


> Le socialiste Antonio Costa, nouveau Premier ministre du Portugal: Antonio Costa était soutenu par une alliance inédite des partis de la gauche radicale. (lire)



> Argentine: quels changements va porter Mauricio Macri? L'enjeu sera d'attirer les investisseurs étrangers sans provoquer de mécontentement social de grande ampleur dans un contexte international difficile. C'est dire si la tâche ne sera pas aisé pour le nouveau président.. (lire)


> Silt : Alsarah & The Nubatones. Originaire du Soudan, Alsarah est fortement marquée par la musique nubienne des années 1960 et 1970. Elle est non seulement auteur-compositeur et interprète, mais aussi ethnomusicologue. Elle qualifie elle-même sa musique de "rétro-pop est-africaine". Très imprégné par l'histoire de la Nubie, engloutie par les eaux du Nil dans les années 1970 lors de la construction du Haut Barrage d'Assouan, avec tout ce qui s’ensuit comme catastrophe écologique et sociale, l'album est traversé par cette nostalgie d'une terre perdue. (lire)