13 janvier 2016
> Ostentatoire_
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> La salle de presse: 13.01_
Coucher de soleil à Río de Janeiro, Brésil. Felipe Dana / ap
> Ségolène Royal estime nécessaire que "les nouveaux élus reprennent le dialogue" concernant l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes. (lire)
> Quand Leonardo DiCaprio fait l'éloge de Ségolène Royal. (lire)
> Déchéance de nationalité: quel consensus à gauche? Prenant acte des profondes divisions qui traversent le groupe majoritaire sur l’extension de la déchéance de la nationalité comprise dans ce texte, Manuel Valls a officiellement ouvert la voie vers un compromis. (lire)
> Refondation de l'école : «Peut mieux faire». (lire)
> Droit au logement opposable, encore 60 000 ménages en attente: depuis 2008, l’État a été condamné 25 000 fois pour ne pas avoir relogé des ménages dans les temps impartis. (lire)
> Pourquoi la primaire est indispensable: en tout état de cause, une primaire suscite sa propre dynamique dont nul ne peut prévoir le dénouement, et la gauche ne peut se permettre le luxe de laisser la droite débattre seule face au pays. (lire)
> Macron, le «mec moderne, hors appareil» qui veut absolument sa loi. (lire)
> Sections lilloises du Parti socialiste: combien de divisions? Pris entre deux feux, deux clans, les militants socialistes rêvent de terrain, dénoncent les parachutages et s’inquiètent de l’avenir alors que la ville reste un bastion pour la gauche. États des lieux un mois après la déroute des régionales. (lire)
> En Espagne, le nouveau Parlement en quête d’une coalition gouvernementale: le socialiste Patxi Lopez a accédé mercredi à la présidence du Congrès à Madrid, grâce aux voix des socialistes et de Ciudadanos (centre), un événement inédit. (lire)
> Carol: Todd Haynes s’empare d’un livre de Patricia Highsmith, également en décalage avec son époque. Publié sous pseudonyme, Carol décrit la passion amoureuse unissant deux jeunes femmes dans une société sévèrement corsetée. Cette histoire, parue en 1952, année où les psychiatres américains rangèrent l’homosexualité au nombre des maladies mentales, le cinéaste la situe pour commencer dans les derniers jours de 1950. (lire)
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