> La salle de presse: 03.11_

Bar

> Dix raisons de se méfier du « fichier monstre »: la création de ce fichier soulève plusieurs problématiques, tant par sa nature que par la manière dont le gouvernement (ne) l’a (pas) amené sur le débat public. (lire)

> Fichier des Français: les oublis et les erreurs de Cazeneuve et Urvoas. Les ministres de l’intérieur et de la justice ont défendu, mercredi, la création d’un fichier rassemblant les détenteurs d’un titre d’identité. Au prix d’arrangements avec la réalité. (lire)

> Arbina: bien énervés, Noura Mint Seymali, à la harpe ardîn, et son mari, Jeiche Ould Chighaly, à la guitare électrique (qu'il troque parfois contre son luth tidinît), rivalisent d'exubérance. Le tout perpétue avec une belle modernité la verve griotique familiale, autrefois portée à incandescence par la grande Dimi Mint Abba, belle-mère de Noura Mint Seymali, disparue en 2011. (lire)

Noura Mint Seymali - Arbina (Glitterbeat)

> La salle de presse: 02.11_

> Le fichage de 60 millions de Français mériterait un débat parlementaire: le gouvernement a discrètement passé un décret créant une vaste base des données biométriques sur les Français. Un recul de nos libertés. (lire)


> Dans les banlieues, le soutien à la gauche "s'est totalement effondré": depuis 2007, la banlieue apporte un soutien de plus en plus marqué aux candidats de gauche : Ségolène Royal en 2007 et François Hollande en 2012. Mais ce soutien s’est complètement effondré depuis 2012. La gauche a beaucoup déçu. (lire)

> A Angers, le déjeuner surprise de Hollande avec les élus PS: de quoi confier son appétit pour un second mandat et prendre la température du terrain. (lire)

> Ces ministres qui préparent leur piste d'atterrissage pour 2017: avec un président sortant contesté de toutes parts, la donne change radicalement. Les possibilités de remporter les mandats convoités s'amenuisent. (lire)

> Police et citoyens: pourquoi le divorce persiste. Le quinquennat actuel n’a pas permis d’avancée majeure en la matière. (lire)

> Le Mexique, matières à creuset: au Grand Palais, une riche exposition montre comment les courants picturaux nés en Europe au début du XXe siècle ont influencé les artistes du pays ensanglanté par la Révolution de 1910. Ça commence dans les galeries parisiennes et ça finit dans un champ de cactus, à l’ombre d’une pyramide aztèque, entre statues et pendus. Ou sur un de ces marchés mexicains décrits par D.H. Lawrence, là où les sombreros, les agaves et les fleurs dessinent des angles que la lumière aiguise et que l’ombre fait saigner, sous la plume enragée de l’écrivain. (lire)

Mexique, 1900-1950 Diego Rivera, Frida Kahlo, José Clemente Orozco et les avant-gardes - Grand Palais, Galeries nationales, 75008. Jusqu’au 23 janvier. www.grandpalais.fr