27 mars 2017
> Coup de grâce_
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> La salle de presse: 27.03_
> Une faille de taille dans le plafond de verre: comment Marine Le Pen peut gagner avec moins de 50% d’intentions de vote. (lire)
> La "caution de gauche" de Macron: Mitterrand en 1974, Macron en 2017, Catherine Barbaroux, discrète figure de la gauche - caution de gauche disent certains - savoure sa dernière campagne présidentielle aux côtés du leader d’ En Marche. (lire)
> « Entendrez-vous les voix de tous ceux qui se retrouvent seuls, sans ressource »: un collectif d’associations parmi lesquelles Amnesty International France et ATD-Quart Monde, interpellent les candidats à l’élection présidentielle. (lire)
> Dans l’entourage de Benoît Hamon, la confusion et l’inquiétude règnent: dans une intervention très vive, dimanche soir au 20 heures de France 2, Benoît Hamon a haussé le ton, en dénonçant les « ralliements » venus de son propre camp ces derniers jours en faveur d’Emmanuel Macron, qui « consistent à [lui] planter des couteaux dans le dos ». (lire)
> Et si Mélenchon passait lui aussi devant Fillon... ce serait l'apparition d'un nouveau choc politique. (lire)
> Le vote socialiste des enseignants ne va plus de soi: c'est un enjeu important pour les candidats, car les profs représentent près de 800 000 électeurs potentiels. (lire)
> La culture hors champ: écrasées par les affaires, les questions culturelles, pourtant présentes dans les programmes, sont balayées des débats. Une incohérence dans un pays en pleine dépression identitaire. (lire)
> Quatre chantiers prioritaires. Absente de cette campagne, la culture a pourtant de nombreux dossiers en souffrance. (lire)
> Valentin de Boulogne, le génie qui a réinventé Caravage: de la vie de l’énigmatique Valentin de Boulogne, les spécialistes ne savent pas grand-chose: qu’il est né à Coulommiers en 1591, et qu’il est mort à Rome quarante et un ans plus tard, après une soirée de beuverie échevelée, et un bain dans une fontaine qui provoqua ensuite une mauvaise fièvre. Le grand public ne connaît pas plus l’œuvre intense, profonde de ce peintre baroque du XVIIe siècle. Pour titiller l’intérêt des visiteurs (mais pas seulement), le Louvre a choisi de titrer l’exposition qu’il lui consacre -la première en France depuis 1974- "Valentin de Boulogne, réinventer Caravage". (lire)
Valentin de Boulogne, réinventer Caravage, jusqu'au 22 mai, au Louvre
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