28 mai 2016
> La salle de presse: 28.05_
> Loi travail: le gouvernement pris au piège d’un calendrier maudit. Tenir, mais combien de temps ? L’épreuve de force avec la CGT n’est pas une guerre de mouvement qui peut se régler en quelques jours. C’est un siège qu’il faut pouvoir tenir. A l’intérieur du gouvernement, la tension est palpable. (lire)
> L'article 2, qui concentre l'opposition de la CGT, consacre une inversion de la hiérarchie des normes… que le PS promettait de rétablir en 2011, puis en 2015 ! (lire)
> Emmanuel Macron: tee-shirt, costard et sortie de route. L’élégance ne tient pas à un costume, même vendu au prix d’un Smic. (lire)
> Dites donc Emmanuel Macron, en plus d'être condescendant, vous ne seriez pas ringard? En train de passer à côté d'une révolution qui le dépasse? (lire)
> Andalusia of love: Marcel Khalifé met en musique Andalusia of love, un long poème en prose écrit par Mahmoud Darwich (1942-2008) dans ses dernières années. Cette parabole amoureuse, dont le titre est une référence à un âge d'or de la coexistence religieuse, fait écho à l'engagement humaniste et pacifiste qu'ont toujours partagé les deux artistes. Le chant grave et dépouillé de Khalifé l'incarne à sa manière, poignante et spirituelle. (lire)
Marcel Khalifé - Andalusia of love - Nagam/Differ-ant.
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27 mai 2016
> La salle de presse: 27.05_
> Du vide de l'autorité et du trop-plein de colère: l'utilisation du 49-3, face à la situation sociale explosive, est revenue à jouer aux allumettes. On en voit les conséquences. Quant à François Hollande, on a beau chercher dans l'histoire de la Vème République, il n'y a jamais eu de président sortant avec autant de prétendants dans son propre camps. (lire)
> « Sans la grève et les blocages, nous en serions encore au monde de Zola, de Dickens et du travail des enfants »: haro sur les blocages, les grévistes et les syndicats qui y participent ! « Inacceptable », clame le gouvernement, « irresponsable », hurlent en cœur les éditorialistes des médias appartenant aux grandes fortunes françaises. C’est vite oublier que sans grèves ni blocages, nos démocraties n’auraient pas connu un tel progrès social, depuis plus d’un siècle. (lire)
> Loi travail: Mailly (FO) appelle à suspendre les débats au Parlement pour ouvrir des négociations avec le patronat et les syndicats. (lire)
> Loi travail: l'exécutif s’emmêle. La mobilisation contre la loi travail ne faiblit pas. L’incompréhension sur les intentions de l’exécutif non plus. (lire)
> L’encadrement du salaire des patrons rejeté à l’Assemblée à une voix près, dans un hémicycle quasi vide. (lire)
> Les pieds dans le tapis: dans cette fantaisie familiale entre conte moderne et voyage initiatique, sorte de Lettres persanes à l'heure de l'hyperconnexion, les rencontres résonnent comme un appel à une émancipation en douceur, voire à une redécouverte de soi : un vigneron poète parle de son terroir à la rigide veuve iranienne, une traductrice chinoise féministe chamboule les réflexes traditionalistes de Morteza... Pour se comprendre, l'humanité n'a rien inventé de mieux que de se parler — avec ou sans smartphone —, nous souffle ce film optimiste et bourré de charme. (lire)
Vendredi 27 mai 2016 à 20h55 sur Arte.
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