> La salle de presse: 19.05_

→La nouvelle organisation de la communication d'Emmanuel Macron fait bondir les journalistes: selon le porte-parole du gouvernement, il s'agit de favoriser les "échanges" entre Emmanuel Macron et les Français. (lire)

→John Fitzgerald Macron veut évincer les journalistes politiques: dans la nouvelle ère comme dans l'ancienne, la presse est bien assez grande pour se sauver, ou pour couler, toute seule. (lire)

→Fonction publique: «Chasse aux sorcières» ou «coup de pied dans la fourmilière»? Pourquoi Emmanuel Macron passe au crible les cadres de l'administration. (lire)

→Les profils de la "France LinkedIn" promue par Macron aux législatives: avec Macron, le renouvellement social attendra : aux législatives, En Marche a surtout investi des cadres sup' et des entrepreneurs. Des "winners" de la vie professionnelle pour remplacer les pros de la politique, en somme. (lire)

→Notre-Dame-des-Landes: vers un enterrement discret? La nomination d’un médiateur pourrait être une forme de garantie d’enterrement de NDDL. Une manière de gagner du temps pour éviter de se confronter à ce dossier explosif en espérant qu’il finisse par faire pschitt. (lire)


→Gouvernement: va y avoir du sport. S’asseoir sur ses principes ou se battre contre ses collègues ? Les nombreux désaccords entre certains ministres du gouvernement Philippe, réunis pour la première fois jeudi, pourraient déboucher sur des oppositions frontales. (lire)

 

 

> La salle de presse: 18.05_

→La « société civile » au gouvernement, forces et faiblesses. (lire)
→Pourquoi le premier gouvernement de l'ère Macron ne tient pas toutes ses promesses. (lire)
→La droite aux affaires, la gauche en vitrine: conforme aux objectifs de recomposition politique, ce casting souffre au moins deux entorses aux engagements électoraux du Président. (lire)
→Jean-Michel Blanquer à l'Éducation: les syndicats entre attentisme et inquiétude pour "un métier fondé sur de l'humain où, par définition, tout n'est pas prévisible". (lire)
→ Réforme du Code du travail: "Si la ministre met en œuvre le programme d'Emmanuel Macron, ça n'ira pas du tout", prévient la CGT. (lire)

→Yannick Jadot: Hulot risque "d'être sacrément tout seul". (lire)
→Législatives: face à un gouvernement "ni de gauche, ni de gauche", le PS veut revivre. Et si tout n'était pas perdu ? C'est ce qu'on commence à se dire rue de Solférino. (lire)

→Dans La Colère d'un homme patient, Raúl Arévalo ne se prend jamais au sérieux. C'est un facétieux. Il s'amuse de nous, mais avec nous. Il connaît bien les thrillers — américains, surtout —, en a soigneusement appris les règles, qu'il respecte le plus souvent. Tout en se permettant, par moments, de casser le classicisme de son road-movie par des traits humoristiques et insolents. (lire)