11 mai 2017
> La salle de presse: 11.05_
→Big bang dans les partis. (lire)
→Législatives: un conseiller de Hollande investi par En Marche! à Rennes. (lire)
→Législatives: les critiques se multiplient contre Jean-Luc Mélenchon qui se présente à Marseille alors que les négociations entre le PCF et La France insoumise sont au point mort au niveau national. (lire)
→Macron président: la communauté éducative dans l’attente. Les précisions manquent sur certains points de son projet. (lire)
→Dans Écrire pour sauver une vie, John Edgar Wideman se souvient d'Emmett Till, 14 ans, massacré pour avoir sifflé au passage d'une femme blanche. Ses deux assassins furent acquittés par un jury composé de douze hommes blancs. Le supplice de l'adolescent et l'absolution accordée à ses bourreaux participèrent au déclenchement du Mouvement des droits civiques. A Emmett Till, Dylan a consacré jadis une chanson et sur lui, John Edgar Wideman consacre un ouvrage admirable, âpre, grave et lyrique. (lire)
Writing to save a life, The Louis Till file, traduit de l'anglais par Catherine Richard-Mas, éd. Gallimard, 20 €.
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (0)
10 mai 2017
> La salle de presse: 10.05_
→Un tournant éthique à ne pas rater. (lire)
→Le plus dur est à venir: historique. Inédit. Mais aussi lourd de périls à venir. Tel est le triptyque qui peut résumer le stupéfiant verdict de cette 10e élection du président de la République au suffrage universel. (lire)
→Ségolène Royal: "Macron a été choqué par le 49.3, ça ne sera pas sa méthode". (lire)
→Législatives: au PS, une synthèse timide pour "sauver 50 députés" ou l'équation complexe de Solférino dans la France de Macron. (lire)
→Valls est déferré devant la commission des conflits du Parti socialiste. (lire)
→Mélenchon, l'habitué des parachutages: depuis 2009, le leadeur de la France insoumise a changé de point de chute à chaque nouveau scrutin local auquel il s'est présenté. (lire)
→Pourquoi Benoît Hamon veut-il lancer un «nouveau mouvement»? Comme il l’avait promis au soir de son crash au premier tour de la présidentielle, Benoît Hamon a fait une croix sur l’option traversée du désert. (lire)
→Après Au revoir l'été, chronique solaire aux accents rohmériens, et Harmonium, thriller familial très sombre, Kôji Fukada ne cesse décidément de surprendre, en témoignant d'un réel talent dans chacun des genres qu'il aborde. Récit réaliste d'anticipation, Sayonara (tourné avant Harmonium) déconcerte et intrigue, avant d'éblouir. Le temps s'écoule plus lentement. L'action se transforme en contemplation immobile, en cérémonie crépusculaire, telle une agonie douce, presque sereine. (lire)
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (1)