> La salle de presse: 06.11

> A mi-mandat, Hollande repart au combat: comme un message subliminal. François Hollande aura attendu de sombrer dans des abysses d’impopularité avant d’accepter, pour la première fois, d’échanger avec des Français sur un plateau de télévision. (lire)

> Popularité, chômage, dette... Cinq records que François Hollande préférerait ne pas détenir. (lire)

> Que sont devenues les 60 promesses de Hollande? (lire)

> Ces militants qui quittent le PS: ce soir à 20 h 30, François Hollande va évoquer la première partie de son quinquennat, tenter de convaincre les Français. Et aussi les militants. Enfin, ceux qui espèrent toujours. (lire)



> “En France, on se tape dessus, ensuite on discute”: le tour dramatique pris par les manifestations contre le barrage de Sivens n'est guère étonnant au vu de l'histoire des confrontations en France. (lire)




> Couples, seniors, étrangers: les nouveaux visages de la pauvreté. Cette année dans son rapport, le Secours catholique s’est particulièrement intéressé à trois réalités : la pauvreté des seniors, des hommes seuls et la précarité énergétique. (lire)



> Le dernier prodige de Citizen Welles: depuis quatre décennies, les négatifs de The Other Side of the Wind, ce long-métrage qui a obsédé Welles pendant toute la fin de sa vie sont enfermés à double tour dans un entrepôt de la banlieue parisienne, en raison d'un inextricable imbroglio juridique entre ses ayants droit. A présent, grâce à deux opiniâtres producteurs, la filmographie d'Orson Welles va s'enrichir d'un douzième et dernier long-métrage. Et non des moindres. Les rares privilégiés et spécialistes à avoir vu les quarante-deux minutes de pellicule déjà montées sont unanimes : c'est du "très grand Orson". (lire)

 

 

> La salle de presse: 05.11

Coucher de soleil sur les moulins d'Aixerrota, de la ville basque de Getxo. Alfredo Aldai / efe

> S. Royal dans son rôle ministériel en se lançant dans un arbitrage entre des parties qui ne se parlaient plus, sinon par invectives, et sans doute aussi dans sa responsabilité politique en constatant qu'il fallait un peu de temps pour que "les choses mûrissent" ne serait-ce qu'en raison de l'émotion créée par le drame de dimanche dernier. (lire)

>> Barrage de Sivens: Ségolène Royal se pose en médiatrice. (lire)

>> La marche arrière toujours possible: Ségolène Royal a souhaité le maintien d’un «ouvrage». Mais certains experts et agriculteurs privilégient, eux, des solutions alternatives. (lire)


> Notre-Dame des Landes: "Un entêtement vain et inutile" du Premier ministre pour J-V Placé (EELV). (lire)

> Hollande sur TF1, émission à haut risque pour le Président: le paradoxe de ce genre de spectacle est que le héros connu doit accepter l’émergence de héros inconnus qui lui tiennent tête. C’est à cette condition, seulement, qu’il pourra sortir grandi de l’épreuve. (lire)

> Allocations, PV, inscriptions scolaires: ce qui va changer. 40 propositions faites par le gouvernement pour simplifier la vie quotidienne des Français. (lire)

> Espagne: casse-tête juridique en Catalogne. Le "référendum d'autodétermination" de la Catalogne, interdit par Madrid, aura-t-il lieu dimanche ? Le suspense reste entier. (lire)




> États-Unis: le succès des Républicains est aussi une victoire pour la gauche. Les Démocrates peuvent toujours se consoler en se disant que leurs adversaires l'ont emporté en promettant des mesures progressistes sur l’égalité économique. (lire)

> A Girl at my Door: ce premier film de la réalisatrice July Jung, avec un casting de premiers rôles féminins et présenté à Cannes dans la sélection Un certain regard, décrit, avec un grand sens du détail et un savoir-faire très sûr dans la montée des émotions, le complexe jeu d’emprise entre des personnages déboussolés. Le sort des femmes dans une société dominée par des hommes rustres se prolonge par la description du traitement réservé, en Corée du Sud, aux travailleurs étrangers dépossédés de leurs droits. (lire)