> La salle de presse: 24.10

Une potière colorant des lampes pour la fête de Diwali (en hindi : दीपावली) à Amritsar, Inde. Munish Sharma / reuters

>> Le Parti Socialiste: 1971-2014? (lire)
>> Un nouveau courant est né au PS : socialisme et parachutisme ! (lire)

>> Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, explique au son point de vue sur la stratégie gouvernementale: « la façon de procéder est désastreuse ». (lire)

Budget:
>> Malgré une lettre de Bruxelles (lire), Hollande écarte toute économie supplémentaire. Si le président français assure que « le dialogue se poursuit dans de très bonnes conditions » avec Bruxelles, la tonalité n'est pas vraiment la même côté bruxellois. (lire)

>> Hollande et la lettre cachée de la Commission: les Italiens sont plus joueurs avec la Commission que les Français. En Italie, ce courrier a déjà fuité dans la presse. Et la France? Pas question d’énerver la Commission en publiant ce courrier. (lire)

> "L’injustice" faite aux mineurs grévistes de 1948 va être "réparée": ils avaient payé cher leur grève contre la baisse de leur salaire. (lire)




> Retraite chapeau à GDF: la CGT demande à l’État d'intervenir et « contraigne » le président du géant gazier Gérard Mestrallet « à renoncer à sa retraite chapeau ». (lire)

> A Calais, la fatigue migratoire: douze ans après la fermeture du centre de Sangatte, neuf ans après l’accord du Touquet permettant aux Britanniques de pratiquer des contrôles à Calais, peu de personnes croit aux solutions annoncées. (lire)


> L'Europe se fixe un cap ambitieux sur le climat au prix d'importantes concessions faites aux États. (lire)





> Robert Johnson, blues à la diable: Robert Johnson, c’est vingt-neuf chansons, vingt-sept ans d’existence, dix doigts squelettiques, trois sépultures, deux photos, un carrefour et une infinité de reprises. Le trajet historique du blues relie le delta du Mississippi à Chicago. Celui de Robert Johnson n’échappe pas à la règle, puis redescend vers l’origine, quand vient la fin. Sous l’influence protectrice de Robert Crumb et de ses Héros du blues, Dupont et Mezzo scandent ce parcours de longs plans larges, de décors et paysages où les parties blanches semblent griffées, arrachées au papier noir. (lire)

Love in Vain de Mezzo (dessin) et Jean-Michel Dupont (texte) Glénat, 19,50 €.

> La salle de presse: 23.10

A Oconomowoc dans le Wisconsin, Etats Unis. John Hart / ap / sipa

>> Dans la petite cour de Manuel, Martine et les autres : et c’est parti pour la bagarre.  (lire)
>> La  partie de poker menteur entre le gouvernement et les frondeurs. (lire)
>> Socialistes... et masochistes !(lire)


> Sarkozy se cache mais continue dans l'intox: cette fois, la réunion de Nice s’est tenue dans un silence médiatique étonnant. C’est devenu une tournée des salles publiques en catimini et pourtant suffisant pour diffuser deux nouvelles contre-vérités. (lire)

> Le couple Balkany raconté par ses comptes: trois notes de Tracfin, la cellule antiblanchiment du ministère des finances, dressent un portrait assez insolite de ce couple emblématique et de son train de vie. (lire)

> Pourquoi la situation est-elle aussi explosive à Calais? L'afflux de migrants et leurs conditions de vie très difficiles génèrent des tensions aussi bien entre eux qu'avec la population. (lire)

> Le prix Sakharov pour le «Docteur miracle»: par son engagement et ses dénonciations publiques, ce colosse débonnaire au visage grêlé est aussi devenu l’inlassable porte-parole, à travers le monde, d’une tragédie qui se perpétue et se renouvelle dans une passivité coupable. (lire)




> Climat: va-t-on abandonner le charbon en Europe? Ce qui mettrait l’Union en position de force avant les négociations climatiques à Paris l’an prochain.(lire)



> Le solaire, nouvel or noir du désert? Les étendues désertes du Sahara  recèlent-elles la source d'énergie qui se substituera au pétrole dans les décennies à venir ? Des projets sont d'ores-et-déjà à l'étude. (lire)

> Niki de Saint Phalle au Grand Palais à Paris. La grande rétrospective du Grand Palais est un aveu : Niki de Saint Phalle possédait une énergie inoxydable et une magnifique vitalité de création qui irradient partout, des premiers tableaux réalisés à Majorque sous l'influence de Pollock aux innombrables Mariées blanches des années 60, faites de concrétions d'objets, en passant par ses fameuses Nanas colorées. Entre révolte et jaillissement, entre agit-prop et pop fécond, Niki est une reine. (lire)

Jusqu'au 2 février 2015. Galeries nationales du Grand Palais.