20 avril 2017
> La salle de presse: 20.04_
> Voter Hamon, Mélenchon ou Macron: le casse-tête des électeurs de gauche avant le premier tour de la présidentielle, perdus entre vote utile, sondages cruels et profils atypiques. (lire)
> Hamon tente une dernière fois de conjurer le vote utile pour s'extirper de l'étau mortifère Macron-Mélenchon, qui l'étouffe depuis plusieurs semaines. (lire)
> Les éditorialistes, des tuteurs de choix pour le lierre rampant des mélenchonistes. Les éditorialistes ont trouvé les responsables de la “dynamique Mélenchon” : les gens. Incultes, émotifs, irresponsables… Du “lierre rampant” (selon Christophe Barbier) tout juste bon à former des “masses populistes”. (lire)
> Philippe Poutou voit dans la campagne "un énorme climat de résignation mélangée avec l'individualisme", qui explique en partie les résultats du FN dans les sondages. (lire)
> Les socialistes préparent déjà l'après-présidentielle et témoignent d'une certaine prudence vis-à-vis d'En Marche!, signe du souci du PS de ne pas insulter l'avenir en cas de victoire d'Emmanuel Macron. (lire)
> Hollande a donné des consignes électorales à ses ministres et ne croirait pas à une recomposition du paysage politique : "Je suis de la vieille école, je crois au schéma classique". (lire)
> Al Jamilat: fuyant le déjà-entendu pour mieux s’ouvrir à l’inattendu, confrontant ses racines orientales aux sonorités occidentales, la Libanaise Yasmine Hamdan a l’âme voyageuse, la voix enjôleuse et l’oreille fureteuse. Ces traits distinctifs se font plus saillants encore dans la musique qu’elle élabore en solo – une musique résolument ancrée dans le présent et tournée vers l’ailleurs. (lire)
Yasmine Hamdan - Al Jamilat - Crammed Discs
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19 avril 2017
> La salle de presse: 19.04_
> Un nouveau ministre apporte son soutien à Macron. Contre l'avis de son parti, Jean-Michel Baylet a affirmé ce mercredi 19 avril son soutien au candidat d'En Marche!. (lire)
> Benoît Hamon à Toulouse, un dernier meeting aux allures d’au revoir: là où les prestations mitterrandiennes et hollandaises avaient, en leur temps, des parfums de victoires annoncées, celle du député des Yvelines avait, mardi soir, le goût triste de la séparation. (lire)
> La communicante qui souffle à l'oreille de Mélenchon à l’assaut de la gauche: le web en outil de séduction massive, Podemos et Sanders en références. (lire)
> On vit une campagne formidable! (lire)
> Que proposent les candidats pour préserver ou réformer notre modèle social? Les candidats font le grand écart entre nécessité de réformer et volonté de préserver, voire de renforcer un système cher aux Français. (lire)
> Les candidats n’aiment pas le travail: toutes les enquêtes soulignent la condition malheureuse des travailleurs. La plupart des prétendants ne parlent que d’emploi, mais n’abordent pas la question même du travail. (lire)
> Entre Poutou et Mélenchon, le cœur de Podemos balance: il n’y a pas que les Français qui ont du mal à se décider. (lire)
> Glory: c'est la grande comédie italienne que vise le duo de réalisateurs bulgares : le héros semble sortir d'Affreux, sales et méchants d'Ettore Scola. Et les bourgeois ressemblent aux silhouettes que Dino Risi croquait si bien dans Les Monstres. Dans cette farce tragicomique, la montre introuvable de Tsanko devient le symbole du gouffre qui sépare, de plus en plus, les humiliés des puissants. (lire)
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