> A la source

Na!

> La salle presse: 17.06

Amritsar (Inde): agriculteurs dans leurs tâches quotidiennes. Altaf Qadri / ap

> Grèce: les créanciers sont-ils réalistes?  Leur position s'appuie sur des objectifs contestables, sur une logique économique qui a échoué et sur des ambitions politiques que les formes officielles cachent bien difficilement. (lire)

> Dette grecque: ces révélations vont faire mal ! Des langues commencent à se délier sur la manière dont on a choisi d’"aider les banques françaises et allemandes, principales créancières d’Athènes" plutôt que la Grèce et ses habitants. (lire)

> Le plan timide du gouvernement face au drame des migrants: une dose d’humanitaire et une dose d’expulsion, un cocktail savamment dosé pour déminer un sujet politiquement explosif. Au risque de fâcher tout le monde. (lire)



> Remaniement : petits ajustements entre hollandais. (lire)

> Liêm Hoang-Ngoc quitte le Parti socialiste: cet économiste,  sur lequel les socialistes se sont souvent appuyés, dresse un constat cinglant de sa famille politique. (lire)

> Un éléphant dans un magazin de porcelaine: l’opération séduction tentée au congrès de Poitiers aura été sans lendemains...le premier ministre n’estime pas nécessaire d’engager avec ses camarades la discussion sur les sujets qui fâchent. (lire)

> Prélèvement à la source: l’année blanche en 2016 pour éviter un quinquennat noir. (lire)

> Le coup de pouce de François Hollande aux restaurateurs: l'Élysée estime qu'aider un secteur qui emploie beaucoup de main d’œuvre, c'est aussi sauvegarder les emplois de demain dans une branche où il y a un fort gisement de postes à pourvoir. À deux ans de l'élection présidentielle, François Hollande ne veut oublier personne. (lire)

> Mustang: se soumettre ou résister? Accepter l’inacceptable ou s’enfuir ? Mourir à petit feu ou prendre tous les risques pour vivre ? Dans  Mustang, quelque part entre conte moderne (les héroïnes, à bien des égards, composent une sorte de corps à cinq têtes) et chronique ultra réaliste d’un emprisonnement, Deniz Gamze Ergüven met en scène la condition des (jeunes) femmes en Turquie et signe un film aussi précieux qu’inventif. (lire)