> Santé!

Na!

> La salle de presse: 30.09

Vagues à l'assut du Malecón de la Havane, Cuba. Javier Galeano / ap

> Ségolène Royal se félicite de la réactivité des citoyens pour défendre les prestations et politiques familiales. (lire)

> Budget de la Sécu: le PS sanctionne des frondeurs. La situation se tend au sein du groupe PS à l'Assemblée nationale, à l'approche de l'examen du projet de loi de finances de la sécurité sociale. Six députés frondeurs, qui n'avaient pas voté la confiance à Manuel Valls le 16 septembre, ont été exclus de la commission des affaires sociales. (lire)

> Centres pour handicapés: où sont les places promises? Où l’on apprend que les places ne répondent pas aux besoins. (lire)

> Austérité: plus de 200 000 emplois pourraient être détruits dans le secteur associatif d’ici 2017. En cause: le pacte de responsabilité, qui devrait amputer les budgets des collectivités locales de 29 milliards d’ici 2017. (lire)

> Dette publique: 2.000 milliards d'euros, ça représente deux Stade de France en billets de 100 euros. (lire)

>> Hong Kong : que se cache-t-il sous la révolution des parapluies? (lire)

>> La "révolution des parapluies" inspire les dessinateurs: les photographies des manifestants prodémocratie se protégeant dans les rues de Hong Kong des gaz lacrymogènes à l'aide de parapluies ont fait de cet accessoire banal du quotidien le symbole du mouvement Occupy Central. (lire)

> Naufrages en Méditerranée: Amnesty International appelle l’Europe à prendre ses responsabilités. Rappelant que plus de 3.000 migrants ont péri en Méditerranée cette année, un rapport publié par l’ONG souligne «la honteuse passivité de certains pays de l'Union européenne» (lire)

> «Ebola n'est plus une épidémie: c'est une crise humanitaire majeure qui va durer». Le professeur Peter Piot, co-découvreur du virus, estime que l'épidémie ne sera pas vaincue avec une seule stratégie médicale. (lire)


> Biodiversité: le rapport accablant du WWF. (lire)

> Fouché. Les silences de la pieuvre: somptueuse biographie où le roman d'espionnage s'insinue entre les analyses. Pas facile, pourtant, d'écrire sur un homme ­politique, longtemps premier flic de France qui sut effacer ses traces compromettantes – prudence dont nombre de ses successeurs sauront se souvenir. Maniant l'intrigue et le double jeu, tour à tour conciliant, inflexible, ou tendre dans l'intimité, il concentre entre ses mains des pouvoirs redoutés, mais connaît aussi la disgrâce et l'exil. (lire)

Ed. Tallandier/Fayard | 882 p., 29,90 €.