30 juin 2016
> Le saut de l’ange_
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> La salle de presse: 30.06_
> A Bordeaux, Stéphane Le Foll affole les déçus du PS: venu à Bordeaux à l’appel de treize parlementaires socialistes girondins, le ministre de l’agriculture et porte-parole du gouvernement Valls, espérait réunir la gauche. C’est plutôt raté. A la sortie, un sympathisant PS, dépité, regarde le sol en marmonnant : « Que la campagne va être difficile ! » (lire)
> Primaire à gauche: gros couac dans la "Belle Alliance populaire". Le Parti radical de gauche suspend sa participation pour dénoncer la décision unilatérale du PS d’organiser une primaire. (lire)
> François Hollande promet une baisse d’impôt pour les classes moyennes, et un soutien aux PME plutôt qu’un nouveau « cadeau » aux grandes entreprises. Les élections sont dans moins d’un an. (lire) mais "oublie" la nouvelle taxe régionale de 600 millions annoncée lundi dernier. (lire)
> Loi Travail. Une opération déminage pour rien: sans surprise, les concessions faites à la marge par l'exécutif ont été jugées insuffisantes par la CGT qui maintient la pression. Par FO qui, saluant pourtant quelques avancées, n'a pas donné suite favorable. Pouvait-il en être autrement ? (lire)
> Loi Travail : «Ça va se jouer dans la rue...», prévient Philippe Martinez: le secrétaire général de la CGT, considère les avancées proposées « largement insuffisantes ». (lire)
> Pourquoi, malgré la victoire du oui, les travaux ne commenceront pas de sitôt à Notre-Dame-des-Landes: au printemps, un rapport d'experts remis à Ségolène Royal préconisait de ne construire qu'une seule piste; une idée qui a séduit la ministre de l'Environnement qui défend désormais ce scénario. (lire)
> Accès aux soins en France: la fracture sanitaire s'aggrave! Entre 2012 et 2016, l’accès géographique aux médecins généralistes (à moins de 30 minutes du domicile) s’est dégradé pour plus du quart de la population. (lire)
> La Tortue rouge: du Néerlandais Michaël Dudok De Wit, on aimait le sens de l'épure, les jeux graphiques sur l'ombre et la lumière, toute une poésie méditative qu'il exprimait dans ses courts métrages. Mais son premier long métrage est plus réussi encore, avec son supplément d'animisme à la japonaise. Dans sa description de la nature, dans chaque souffle de vent et dans chaque brindille, le film reflète l'influence du studio Ghibli, des maîtres Isao Takahata et Hayao Miyazaki. A ce conte original, ils ont trouvé une place de choix sur la carte de leur univers, à l'ouest des forêts magiques de Princesse Mononoké et de l'océan de Ponyo sur la falaise. Quelque part sur le tropique du chef-d’œuvre. (lire)
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