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14 juillet 2009

Maison commune: qui n'en veut?

Verts, Parti de gauche, PRG, aucun ne veut de la « maison commune » que Martine Aubry leur a proposé de bâtir. C’est que cette idée rappelle sans oser le dire la« gauche plurielle » des années Jospin. C'est un peu comme si celle qui en fut un symbole fort venait de sortir d'un profond coma. Sans se rendre compte que depuis le 21 avril 2002 les choses ont changé, que le leadership du PS à gauche n'est plus aussi évident depuis 1997.

Cette proposition, en dehors d'être intempestive, arrive à contretemps, c'est à dire après et non pas avant les européennes. Elle arrive si tardivement qu'elle est reçue presque comme une insulte chez les partenaires du PS.
M. Aubry a contacté pour la première fois la secrétaire des Verts...le lendemain du second tour des européennes! Même chose au PRG qui a vu arriver B. Hamon après le 7 juin! Alors qu'en amont du scrutin, le PRG n'avait pas eu le choix : avec le PS ou sans lui! Pour ce qui était du programme, pas la peine d'en discuter...il y avait le Manifesto!
Du côté du PC, ce n'est pas mieux : qui de Bartolone, SN aux relations extérieures, ou de B. Hamon, pour diriger le chantier de la "maison commune"? Le PC y perd sa boussole.

Mais non content d'abimer encore un peu plus ses relations avec ses partenaires traditionnels, cette initiative creuse les divisions au sein du PS : les barons locaux n'ont pas apprécié que la "patronne" aborde ce rassemblement "sans préalable"!(cf sa lettre aux autres responsables politiques).
Ou quand on cherche l'union on récolte l'inverse: la division jusque dans son propre camp.

eag64 & M.

13 juillet 2009

Pamplona (Navarra)

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ELOY ALONSO (REUTERS)
Ce sont les fêtes les plus populaires d'Espagne et bien que l'image ait un parfum d'Andalousie, elle a été prise à Pampelune. Au quatrième jour de la fête, un groupe de danseurs flamencos a présenté un spectacle dans les arènes de la capitale de la Navarre.
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SUSANA VERA (REUTERS)
Pampelune toujours. Ces têtes géantes s'appellent 'kilikis'. Pendant les neuf jours des fêtes, elles défilent dans la ville navarraise qui célèbre cette année les 50 ans de la dernière visite de l'écrivain Ernest Hemingway.