24 septembre 2012
Nocifs
Publié dans HUMOUR, L'EDITO | Lien permanent | Commentaires (0)
| 24 septembre '12
d'infos
laselection
La Journée en un clin d'oeil
Aire de manoeuvres des trains à Maschen, près de Hambourg, Allemagne. Fabian Bimmer / reuters
24H Info
PS-Verts : là ça se complique vraiment. (lire)
Traité européen: charivari et portes qui claquent. (lire)
Pour Cécile Duflot, le ministre du Budget est un « misogyne prétentieux »: « cassant », « éruptif » ou « incorrect », Jérôme Cahuzac ne se fait pas que des amis chez ses collègues. (lire)
C. Duflot: « La vérité, c’est que tout lui réussit », s’enflamme Manuel Flam, 33 ans, le plus jeune directeur de cabinet du gouvernement. Même ses ennemis admettent qu’elle a « marqué des points ». Certains de ses collègues répétaient que son décret d’encadrement des loyers serait retoqué par le Conseil d’Etat. Il est paru au « Journal officiel » dès le 21 juillet ! A la rentrée, seuls deux projets de loi étaient ficelés : celui de Michel Sapin sur les emplois d’avenir, et le sien. (lire)
Tarifs SNCF: grand ménage et petit cadeau. (lire)
Gauche+
«Seuls les écologistes peuvent faire basculer le modèle»: pour Pascal Durand, patron d’EELV, les siens doivent rester au gouvernement pour faire bouger les lignes avant, peut-être, de disparaître un jour. (lire)
Débattre
Pourquoi débattre du cumul des mandats? Pour nourrir la décision publique. Pour résister au lobbying. Pour contrer le clientélisme d’un mandat national tenté d’être au service du local. (lire)
Terre
Le gouvernement japonais chancelant sur l'arrêt du nucléaire: même si Tokyo a annoncé il y a dix jours l'arrêt progressif et définitif du nucléaire d'ici 30 ans, le gouvernement reste empêtré dans un flux de couacs et d'hésitations sur cet épineux sujet. (lire)
Livres/BD
Chère Patagonie: le vent, le silence, et rien d'autre. Ou presque. A la fin des années 1880, des tribus indiennes disputent encore les grands espaces de la Patagonie aux moutons des colons fermiers, mais ceux-ci ne tarderont pas à faire place nette à coups de fusils, au nom de la « civilisation » bien sûr. Le dessinateur argentin Jorge González (remarqué pour son brillant Bandonéon, en 2010) prend rapidement la tangente du western annoncé pour se lancer dans un « revival » au long cours où c'est aussi, par bribes et soubresauts, l'histoire argentine qui pointe dans l'entrelacs des destins individuels. (lire)
Publié dans La SALLE de PRESSE | Lien permanent | Commentaires (0)