18 octobre 2012
Corsi Riot
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| 18 octobre '12
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La Journée en un clin d'oeil
Temple de Pashupatinath à Katmandou, Népal. Navesh Chitrakar / reuters
24H Info
La reconnaissance par François Hollande du massacre du 17 octobre 1961 fait débat: sur les réseaux sociaux les Algériens sont plutôt dubitatifs. Certains demandent la reconnaissance de toutes les violences de la France à l'époque et d'autres demandent l'ouverture des archives françaises pour connaître le nombre exact de victimes. (lire)
Optimisme: l'optimisme et la résolution de F. Hollande convaincront-ils des populations mises à rude épreuve dans ces pays du Sud de l’Europe, qui éprouvent dans leur vie quotidiennes depuis de longs mois déjà les conséquences très concrètes des plans d’austérité exigés par l’Europe. Et qui, n’en déplaise à François Hollande, ont parfois le sentiment d’être condamnés à «perpétuité». (lire)
Cécile Duflot : « Je veux éviter le retour à la rue à la sortie de l’hiver ». La ministre de l’égalité du territoire et du logement dévoile son plan hivernal pour les sans-abri, qui démarre le 1er novembre. (lire)
Mariage pour tous: l'examen du texte à l'Assemblée reporté. Le président socialiste de la commission des lois a demandé au gouvernement de retarder le passage du texte à l'Assemblée afin de lancer de grandes consultations sur le sujet. (lire)
Expulsés de leur camp, les Roms de Noisy livrés à eux-mêmes ont été pris en charge par la solidarité citoyenne. (lire)
PS
Quel premier secrétaire sera Harlem Désir? Le député européen est un homme sans réelles troupes. (lire)
Monde
En attendant le retour des indépendantistes au pouvoir: les électeurs du Pays basque espagnol vont renouveler dimanche leur Parlement. En trois ans, le Pays basque s'est métamorphosé. En cause, deux bouleversements majeurs : le dépôt des armes par ETA et la crise économique. Chacun à leur façon, ces événements ont créé une conjoncture propice au retour au pouvoir des nationalistes. (lire)
Arts
Le mythe américain d'Edward Hopper: le Grand Palais accueille la première rétrospective parisienne de l’œuvre d’Edward Hopper (1882-1967). On a souvent dit de Hopper qu’il était le peintre de l’Amérique. Ses peintures nous décrivent un pays peuplé de solitudes. Les bars, les cinémas, les théâtres, les intérieurs d’appartements, où le temps semble suspendu. Jusqu'au 28 janvier. (lire & voir)
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